Université Saint-Louis – Bruxelles — Wikipédia


L’UCLouvain Saint-Louis – Bruxelles[3], officiellement l’Université Saint-Louis – Bruxelles, est une université belge catholique située à Bruxelles, fondée en 1858. Elle accueille 4 000 étudiants et appartient au réseau libre subventionné par la Communauté française de Belgique[4]. Son campus principal est situé au centre-ville de Bruxelles (Belgique).
Votée par les deux communautés universitaires le 18 mai 2017[5], une fusion avec l’Université catholique de Louvain est en attente d’une modification décrétale pour être totalement effective et former une seule entité dénommée UCLouvain, dénomination que les deux universités emploient depuis la rentrée 2018[6].

À l’origine Institut Saint-Louis, fondée en 1858 à la demande de Pie IX, l’USL était un institut d’enseignement de philosophie catholique. Cette création provenait du souhait du clergé catholique d’avoir à Bruxelles une institution catholique enseignant la philosophie. La partie secondaire, devenue indépendante de l’université, porte d’ailleurs toujours ce nom-là.

En 1948, la section Philosophie et Lettres qui avait été reconnue comme assimilée à de l’enseignement universitaire en 1891 devient une ASBL indépendante de l’Institut Saint-Louis sous le nom « Faculté universitaire Saint-Louis »[7]. Il faut attendre 1960 pour que la séparation soit totalement effective et les bâtiments soient séparés.

Au fil du temps, les Facultés se sont développées et étendues, une faculté de Droit s’ajouta à la faculté de Philosophie et Lettres.

Progressivement (en 1891 et 1929) les Facultés Saint-Louis furent reconnues comme université libre, et plus comme institution privée. En 1965 fut érigée la faculté des Sciences économiques, sociales et politiques (en abrégé, ESPO).

Une section néerlandophone fut créée en 1925 en tant qu’EHSAL, haute école d’économie, simultanément avec la création d’HEC Saint-Louis. Les formations universitaires débutent en néerlandais en 1969, mais la séparation linguistique scinda les deux institutions en 1973, donnant naissance aux Universitaire Faculteiten Sint-Aloysius, devenues l’Université catholique de Bruxelles, depuis 2013 partie de la KU Leuven campus Brussel tout comme l’EHSAL.

Depuis ses débuts, l’Université se spécialise en les études qui correspondent à ce qu’on appelle le programme de bachelier. Bien qu’elle propose aussi des études de second et de troisième cycles et divers programmes de formation continue, elle a acquis dans l’organisation des premiers cycles une « expertise » qui justifie sa réputation d’excellence.

Tout y est en effet ordonné en fonction des exigences très particulières de ce premier cycle de la formation universitaire: qu’il s’agisse des modalités pédagogiques, de la qualité de l’encadrement des étudiants ou des dispositifs de soutien à la réussite mis à leur disposition, sans oublier les instruments de travail (bibliothèques, parcs informatiques, sets multimédias, laboratoires de langues, etc.).

Entre et 2015, l’Université Saint-Louis fait partie de l’Académie Louvain, le réseau des universités catholiques francophones de Belgique. Après presque trois ans de collaboration active dans ce réseau, les recteurs des quatre universités catholiques, les FUCaM, les FUNDP, les FUSL et l’UCL, avaient décidé, le , d’entamer des négociations qui devaient mener à la fusion, à moyen terme, des quatre établissements en une seule université : l’UCLouvain[8]. Alors que les trois autres institutions s’étaient prononcées pour la fusion, le processus échoua le , à la suite du vote de l’assemblée générale des FUNDP[9]. L’assemblée générale des FUSL s’était quant à elle prononcée à l’unanimité en faveur de la fusion. L’Académie Louvain a été dissoute en 2015.

Par un Décret de la Communauté française du 7 novembre 2013, les Facultés universitaires Saint-Louis deviennent Université Saint-Louis – Bruxelles[10].

Une nouvelle fusion avec l’Université catholique de Louvain a été acceptée le 18 mai 2017[5], après plusieurs mois de négociations[11]. Celle-ci est en attente d’une modification décrétale pour être totalement effective, résultant en une nouvelle institution nommée UCLouvain. L’université communique sous le nom d’UCLouvain – Saint-Louis – Bruxelles depuis septembre 2018[6].

Historique[12][modifier | modifier le code]

  • 1835 : l’Université catholique de Belgique, installée à Malines, déménage vers Louvain pour former l’Université catholique de Louvain. Est alors fondée à Malines l’École de Commerce et d’Industrie dans les locaux légués par l’université (l’ouverture officielle a lieu en 1838)[13].
  • 1858 : transfert de l’École de Commerce et d’Industrie vers Bruxelles, devenant l’Institut Saint-Louis[13], et fondation de la Section de Philosophie, enseignant les philosophies & lettres, et le droit[7].
  • 1891 : l’institution privée est considérée comme une université libre[7].
  • 1925 : fondation de l’École des sciences philosophiques et religieuses[14] et de HEC Saint-Louis, haute école de commerce, ainsi que l’EHSAL (Economische Hogeschool Sint-Aloysius), équivalent néerlandophone[15].
  • 1929 : une loi déclare l’institution comme étant universitaire[7].
  • 1948 : constitution de l’ASBL Faculté universitaire Saint-Louis.
  • 1949 : un arrêté du Régent confirme l’autonomie des formations universitaires.
  • 1960 : autonomie complète entre la Faculté universitaire et l’Institut Saint-Louis ; création de la Faculté de Droit.
  • 1964 : inauguration du bâtiment Botanique 43, nouveau siège social, comprenant des auditoires d’université ; séparation des bâtiments de l’Institut secondaire Saint-Louis et de la Faculté.
  • 1965 : création de la Faculté des Sciences économiques, sociales et politiques. HEC Saint-Louis et l’EHSAL deviennent autonomes mais restent situés dans les bâtiments universitaires.
  • 1969 : nouvelle dénomination : Facultés universitaires Saint-Louis – Universitaire Faculteiten Sint-Aloysius (FUSL) ; premiers cours en néerlandais.
  • 1973 : indépendance des Universitaire Faculteiten Sint-Aloysius, qui s’installent avec l’EHSAL, au début de la rue du Marais ; inauguration du bâtiment Marais 109 pour les FUSL ; déménagement de l’Institut Saint-Louis vers la rue du Marais 113.
  • 1980 : fondation du Centre d’études interdisciplinaires de la région bruxelloise (CERB)[16] ; création des formations en horaire décalé.
  • 1984 : HEC Saint-Louis devient l’Institut supérieur de commerce, ou bien ISC Saint-Louis.
  • 1991 : création des programmes bilingues français-néerlandais en collaboration avec l’université néerlandophone, devenue Katholieke Universiteit Brussel.
  • 1993 : création des programmes trilingues français-néerlandais-anglais et bilingues français-anglais en droit et sciences sociales.
  • 1995 : autorisation par décret d’organiser des thèses de doctorat ainsi que des études complémentaires.
  • 1996 : l’ISC Saint-Louis cofonde la haute école Groupe « ICHEC – ISC Saint-Louis – ISFSC ».
  • 2004 : l’ISC Saint-Louis fusionne par absorption au sein de l’Institut catholique des hautes études commerciales.
  • 2004 : adhérence à la charte Erasmus de l’Union européenne.
  • 2004 : fondation de l’Académie Louvain.
  • 2007 : création de l’Institut d’études européennes.
  • 2011 : inauguration du bâtiment 119 Marais, abritant désormais l’Institut d’études européennes et sa bibliothèque spécialisée.
  • 2013 : les FUSL deviennent Université Saint-Louis – Bruxelles, une des six universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
  • 2015 : création de la Faculté de traduction et interprétation Marie Haps, incorporant les bacheliers en traduction-interprétation de l’Institut libre Marie-Haps (Haute École de Vinci) et donc, partage des campus rue d’Arlon (quartier européen) et chaussée de Wavre (site Tilleuls) avec celle-ci.
  • mai 2017 : le conseil d’administration de l’Université catholique de Louvain et l’assemblée générale de l’Université Saint-Louis – Bruxelles décident, à 90 % des suffrages chacun, de fusionner et fonder l’UCLouvain.
  • mai 2018 : inauguration du bâtiment Ommegang par la ministre bruxelloise Céline Frémault et les recteurs des universités Saint-Louis et de Louvain, faisant doubler la superficie de Saint-Louis.

Architecture[modifier | modifier le code]

En 2004, un incendie ravage des bureaux et une grande partie de la bibliothèque est inondée à la suite de l’intervention des pompiers. Une nouvelle bibliothèque est construite et inaugurée en 2005, quelques éléments de l’ancienne bibliothèque subsistent (dont une partie de l’imposant escalier en bois). La bibliothèque principale de l’université s’installe en 2018 aux troisième et quatrième étages du nouveau bâtiment Ommegang.

En 2015, l’université fait l’acquisition d’un immeuble de bureaux appartenant à Belfius, l’Ommegang, voisin de l’établissement de l’Université sis rue du Marais 109, dans le but de désengorger l’infrastructure de l’institution, dont le nombre d’étudiants a triplé en quinze ans[17]. Y sont construits de nouveaux auditoires dont le plus grand de l’établissement, une nouvelle bibliothèque, une nouvelle salle polyvalente pour 1300 personnes, et une centaine de logements étudiants. Les nouvelles installations sont accessibles dès l’année académique 2017, faisant passer la superficie du campus principal Saint-Louis de 25 000 m² à 47 000 m²[18].

Campus Saint-Louis[modifier | modifier le code]

L’USL-B est située sur deux campus à Bruxelles et Ixelles. Le campus principal, Saint-Louis, avec 48 km² d’espace universitaire est situé en plein centre-ville, entre les rues de l’Ommegang et du Marais, ainsi que les boulevards du Jardin botanique et Pachéco[18]. Le campus y est scindé en deux par l’Institut secondaire Saint-Louis, formant au Nord les différent bâtiments « Botanique » et « Préfecture » abritant notamment l’Institut d’Études européennes (Marais 119), les presses universitaires (Botanique 42), et le bâtiment historique avec le rectorat (Botanique 38) ainsi que l’ancienne bibliothèque; et au Sud les bâtiments Marais 109 et Ommegang, plus récents, où l’on trouve les administrations facultaires et étudiantes, des logements et plusieurs grands auditoires[19].

Campus Marie Haps[modifier | modifier le code]

Les cours de la Faculté de traduction & interprétation Marie Haps se donnent principalement sur le campus Marie-Haps, partagé avec la Haute École Vinci, à Ixelles, dans le quartier européen, plus précisément devant le Parlement européen[20], historiquement dans l’Hôtel Beernaert. Les bâtiments du campus Marie-Haps sont situés de part et d’autre de la rue d’Arlon. Les cours de langue (hors cursus) se donnent dans un bâtiment de bureaux plus au Nord, entre la rue d’Arlon et la rue de Trèves, où siégeaient dans le passé les départements néerlandophones de Marie-Haps (qui ont intégré l’Erasmushogeschool Brussel et la LUCA School of Arts).

Site Tilleuls[modifier | modifier le code]

La Faculté Marie-Haps est également implantée sur le site Tilleuls (ancienne Maison médicale de l’Œuvre du calvaire) situé chaussée de Wavre, composée d’une vaste maison de campagne, une conciergerie, une chapelle et l’ancien hôpital transformé en salles de cours.

Projet universitaire : « un enseignement à visage humain »[modifier | modifier le code]

« Caractérisée par un encadrement personnalisé, des séminaires en groupes restreints dès le début du cursus et la disponibilité des enseignants » (point 6, VI. Charte de qualité de l’USL).

Ouverture, complémentarité des formations et interdisciplinarité sont les maîtres-mots du projet pédagogique de l’Université Saint-Louis – Bruxelles.

Un autre des objectifs est d’assurer la transition harmonieuse de l’enseignement secondaire à l’enseignement supérieur: un accueil et un suivi aussi personnalisé et encadré que possible de chaque étudiant. En prenant soin d’aiguiser l’esprit critique qui est, par excellence, la marque de la formation universitaire. En un mot, de l’idéal humaniste au sens originel[21].

Évolution démographique des étudiants[modifier | modifier le code]

Étudiants inscrits à l’Université Saint-Louis – Bruxelles au 1er décembre (doctorants exclus)[22]. L’université prend son nom actuel au lieu des FUSL à l’année académique 2013-2014.

Filières plurilingues[modifier | modifier le code]

« Une attention particulière à l’apprentissage des langues, concrétisée dans ses programmes multilingues » (point 3, VI. Charte de qualité de l’USL)

L’une des particularités de l’Université Saint-Louis est d’offrir des programmes d’études bilingues (en français-néerlandais ou en français-anglais) et trilingues (français-néerlandais-anglais) pour les bacheliers, organisées par la faculté de droit et la faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de la communication (ESPO). Les étudiants sont immergés graduellement dans l’autre langue, le volume horaire à suivre en anglais ou en néerlandais s’accroissant au fil des années d’études.

Un test de langue (anglais et/ou néerlandais) est organisé en début d’année pour permettre aux étudiants d’évaluer leur niveau et de déterminer s’ils peuvent ou non être dispensés du ou des cours de langue correspondants figurant au programme ordinaire. Ils conservent la possibilité de revenir au programme ordinaire en cas de difficultés persistantes.

Pour les cours en néerlandais, selon la faculté, ils se donnent soit à l’Université Saint-Louis, soit en immersion à la KU Leuven campus Brussel. Pour les cours en anglais, les cours sont uniquement donnés à l’Université Saint-Louis. Le programme trilingue français-anglais-néerlandais combine les deux précédents.

Actuellement, environ 45 % des étudiants de l’USL-B, selon les disciplines, sont engagés dans une filière plurilingue.

À partir de l’année 2020, la Faculté ESPO organisera également un programme de bachelier en ingénierie commerciale entièrement en anglais[23]. Elle est la première institution en Fédération Wallonie-Bruxelles à organiser un programme de bachelier entièrement en anglais[24].

Bachelier supplémentaire (double cursus)[modifier | modifier le code]

« Favoriser les études conjointes et les formations complémentaires » (7.7, V. Mission et objectifs de l’USL-B)

Emblème de Saint-Louis, son « programme de bachelier supplémentaire » permet à des étudiants motivés d’obtenir un second titre de bachelier en plus du premier. De par les nécessaires exigences de pluridisciplinarité et complétude qu’ils incarnent ; les diplômes de double-bacheliers cristallisent l’idéal académique de l’Université Saint-Louis[25]. Contrairement à ses consœurs, l’USL est encore à ce jour[Quand ?], la seule à pré-organiser ces double-cursus en Belgique. Ceci permet notamment de minimiser considérablement d’éventuels conflits horaires et de faciliter les inscriptions administratives pour les étudiants[26].

Autres[modifier | modifier le code]

Les élèves de la faculté de Droit et de la faculté ESPO peuvent bénéficier d’un horaire décalé.

Avant l’année académique 2005-2006, l’Université Saint-Louis organisait également une candidature en Langues & littératures classiques (Latin, Grec).

Facultés[modifier | modifier le code]

Depuis l’année 2015-2016, l’université compte cinq facultés.

Faculté de philosophie, lettres et sciences humaines[modifier | modifier le code]

Fondée en 1858, elle est la plus ancienne des facultés, historiquement à l’origine de l’Université Saint-Louis via le département de philosophie.

Bacheliers : philosophie, histoire, langues et lettres françaises et romanes, langues et lettres modernes (germaniques).

Masters de spécialisation : master de spécialisation en cultures et pensées cinématographiques (organisé avec l’UNamur).

Certificats : certificat d’université en didactique de la philosophie et de la citoyenneté, certificat interuniversitaire en médiation (avec l’UNamur et l’UCLouvain) ainsi que deux options de spécialisation du dernier : certificat interuniversitaire en médiation civile et sociale et médiation commerciale (MCCS) et certificat interuniversitaire en médiation locale, scolaire, pénale et en soins de santé (MLSPSS).

Liste des Doyens récents : l’historien Jean-Marie Cauchies, le germaniste Jean Heiderscheidt, l’historien Jean-Pierre Nandrin, le philosophe Laurent Van Eynde (2010-2013), la romaniste et philosophe Isabelle Ost (2013 – 2019), l’historien Philippe Desmette (2019 – …).

Faculté de droit[modifier | modifier le code]

L’Université enseigne le droit depuis sa fondation en 1858, à l’époque via son département de philosophie. La faculté de droit s’est constituée en 1960 et propose un programme de bachelier en droit de réputation internationale, disponible en bilingue et trilingue, ainsi que deux masters de spécialisation. En terme d’étudiants, il s’agit de la plus grande faculté de droit de Belgique[27].

Bacheliers : droit, en français en horaire du jour ou décalé, en bilingue français-anglais ou français-néerlandais et en trilingue français-anglais-néerlandais. Les cours en néerlandais sont dispensés à la KU Leuven campus Brussel.

Masters de spécialisation : master de spécialisation en droits de l’homme (codiplômé avec l’UNamur et l’UCLouvain), master de spécialisation en droit de l’environnement et en droit public immobilier (organisé avec la faculté de droit et de criminologie de l’UCLouvain), master de spécialisation en approche interdisciplinaire des droits de l’enfant (co-organisé avec l’ULiège, l’UCLouvain, l’UNamur et l’ULB).

Certificats : certificat interuniversitaire en expertise judiciaire (organisé avec l’UNamur et l’UCLouvain), certificat interuniversitaire en gestion des droits intellectuels et des pratiques numériques (avec l’UCLouvain), Interuniversity Certificate in Competition Law (avec l’ULiège et la Brussels School of Competition), certificat interuniversitaire en connaissances juridiques pour le traducteur et/ou l’interprète juré (avec l’UCLouvain).

Liste des Doyens récents : François Ost, Philippe Gérard, Hugues Dumont (1998-2004), Yves Cartuyvels (2004-2010), Pierre Jadoul (2010-2013), Sébastien Van Drooghenbroeck (2013-2018), Pierre-Olivier de Broux (depuis 2018).

Faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de la communication (ESPO)[modifier | modifier le code]

La faculté ESPO est fondée en 1965 (l’acronyme date de l’époque, les formations en sciences de l’information et de la communication ayant été créées plus tard). Cependant, des formations en sciences économiques sont dispensées depuis 1925, fondation de HEC Saint-Louis. Elle est la plus importante de par son nombre d’étudiants, représentant environ 30 % de la population étudiante et est divisée en deux départements : sciences sociales (POLS) et économie et gestion (ECGE-INGE). Toutes les formations sont disponibles en français, en bilingue français-anglais, ou en trilingue français-néerlandais-anglais.

Bacheliers : sciences économiques et de gestion, ingénieur de gestion, sciences politiques (cours du jour et horaire décalé), sociologie et anthropologie, information et communication[28], Bachelor of Science in Business Engineering (codiplômé avec la KU Leuven)[23].

Master : master en stratégie et analyse de la communication interactive et collaborative (codiplômé avec l’ISFSC).

Masters de spécialisation : master de spécialisation en gestion des risques financiers, master de spécialisation en études de genre (codiplômé par toutes les universités francophones de Belgique).

Certificats : Executive Master Immobilier (organisé avec l’ICHEC), certificat interuniversitaire en sciences religieuses et sociales : l’islam dans le monde contemporain (organisé avec l’UCLouvain), certificat interuniversitaire Preparation to the Chartered Financial Analyst Exam (organisé avec l’UCLouvain), certificat interuniversitaire (Re)Inventing your Compliance program (organisé avec l’UCLouvain).

Liste des Doyens récents : l’économiste Jean-Paul Lambert, le sociologue Luc Van Campenhoudt, l’économiste Anne-Marie de Kerchove, le sociologue Michel Hubert, l’économiste Bertrand Hamaide, le psychologue Frédéric Nils (2011-2014), l’économiste Xavier Wauthy (2014-…).

Faculté de traduction et d’interprétation Marie Haps[modifier | modifier le code]

Depuis septembre 2015, l’Institut libre Marie Haps (Haute École Léonard de Vinci) s’est scindé en deux, à la suite du décret rendant les formations de traduction et d’interprétation universitaires. Les bacheliers en traduction-interprétation se sont joints à Saint-Louis sous une nouvelle faculté, et tout en restant sur le campus Marie Haps (quartier européen), désormais partagé avec la haute école, alors que les formations de master en traduction et en interprétation ont incorporé l’Université catholique de Louvain et ont déménagé à Louvain-la-Neuve, au sein de la Faculté de philosophie, arts & lettres.

Une fusion des deux sections, visant soit à la création d’un faculté de traduction-interprétation à part entière, soit une incorporation complète au sein de la nouvelle Faculté de philosophie, arts et lettres (avec laquelle sera également fusionnée la Faculté de philosophie, lettres et sciences humaines de Saint-Louis), est en cours de discussion à la suite de la création de l’UCLouvain[29].

Certificat : Certificat interuniversitaire en connaissances juridiques pour le traducteur et/ou l’interprète juré

Institut d’études européennes (IEE)[modifier | modifier le code]

Depuis l’année 2007, l’Université Saint-Louis organise un master en études européennes au sein de son institut d’études européennes installé avec la bibliothèque, le centre de documentation européenne, dans un bâtiment inauguré pour l’occasion, rue du Marais 119. Celui-ci est suivi durant la première année à l’UCLouvain et depuis 2008, la deuxième année du master a lieu (deux modules sur les trois disponibles, un seul constituant l’année d’études) à l’Université Saint-Louis. Depuis l’année 2012-2013, l’IEE Saint-Louis a été érigé en faculté.

Il est prévu à fusionner avec l’Institut d’études européennes de l’université de Louvain (qui lui n’est pas une entité indépendante mais fait partie de la Faculté ESPO louvaniste), créant un Master in European studies, entièrement en anglais, sur le site Saint-Louis, lors de la fusion fondant l’UCLouvain[29].

Master : master en études européennes, codiplômé avec l’université catholique de Louvain ; dont les programmes de double diplômes (bien qu’organisés entre trois universités) de master en études européennes et internationales ‘Capitales européennes’ avec Sciences Po Strasbourg[30], de Master’s Degree in European studies et de Master’s Degree in European, Russian and Eurasian Studies avec l’Université Carleton à Ottawa, Canada[31], ainsi qu’un double diplôme avec l’Université de Montréal. L’université développe également un double diplôme de master en études européennes (option études internationales) avec l’université de Montréal (UdeM)[32].

Master de spécialisation : master de spécialisation interdisciplinaire en études européennes[33], master de spécialisation en entreprises et politiques économiques et européennes, co-organisés avec l’UCLouvain, et l’Advanced Master in European Business and Economic Policy codiplômé avec la Louvain School of Management.

Certificats : certificat en analyse juridique et économique de l’intégration européenne, certificat en analyse historique et culturelle de l’intégration européenne, certificat Europa Plus (organisés avec l’UCLouvain), Module Jean Monnet de la Commission européenne (EU Environmental Policies & Law), EU Business Law & WTO Trade Practice Summer School.

Liste des Présidents: le juriste constitutionnaliste Hugues Dumont.

Centres de recherches[modifier | modifier le code]

Depuis sa fondation, Saint-Louis se distingue de par son caractère universitaire, qui constitue à produire le savoir en complément de l’offrir. Les premiers centres de recherche se sont constitués à la fin du XIXème siècle. En 1995, le décret organisant l’enseignement supérieur accorde à l’Université le droit d’organiser des thèses de doctorat, contribuant davantage à l’expansion de la recherche.

L’université compte trois instituts de recherche :

  • Réseau Interdisciplinarité et Société (RIS).
  • Institut de recherches interdisciplinaires sur Bruxelles (IRIB), formé en 1980, quinze ans avant la création de la région de Bruxelles-Capitale, en tant Centre d’études interdisciplinaires de la région bruxelloise (CERB)[16].
  • Institut d’études européennes (IEE), fondé en 2007 et devenu une faculté en 2012.

et différents centres particuliers de recherche :

  • Centre belge d’études bourguignonnes 1400-1600
  • Centre d’anthropologie, sociologie et psychologie : études et recherches (CASPER)
  • Centre de droit privé (CePri)
  • Centre de Recherche en Economie (CEREC)
  • Centre de recherche en science politique (CReSPo)
  • Centre de recherches en histoire du droit, des institutions et de la société (CRHiDI)
  • Centre d’étude du droit de l’environnement (CEDRE)
  • Centre d’études sociologiques (CES)
  • Centre Innovation – Proprieté intellectuelle (CIPI)
  • Centre interdisciplinaire de recherches en droit constitutionnel et administratif (CIRC)
  • Centre interuniversitaire d’étude de la mobilité[34]
  • Centre Prospero – Langage, image et connaissance
  • Groupe de recherche en matière pénale et criminelle (GREPEC)
  • Observatoire du SIDA et des sexualités
  • Pôle de Recherches sur la Communication et les Médias (PReCoM)
  • Séminaire de mathématiques appliquées aux sciences humaines (SMASH)
  • Séminaire des Sciences du Langage (SeSLa)
  • Séminaire interdisciplinaire d’études juridiques (SIEJ)
  • TranSphères (Traductologie)

L’Université Saint-Louis – Bruxelles a aussi créé le Brussels Studies Institute, avec l’Université libre de Bruxelles et la Vrije Universiteit Brussel.

L’École des Sciences philosophiques et religieuses[modifier | modifier le code]

Depuis 1925, l’École des Sciences philosophiques et religieuses organise des séminaires, leçons publiques et sessions théologiques en philosophie et sciences religieuses.

Spécialisation sur Bruxelles[modifier | modifier le code]

L’USL-B est la seule université ayant toutes ses implantations sur le territoire de la Ville de Bruxelles. Ses centres de recherche se spécialisent sur les questions bruxelloises. Lorsque les Régions wallonne et flamande sont créées en 1980 et que le Parlement ne parvient pas à trouver de solution pour Bruxelles, est créé à Saint-Louis le Centre d’études interdisciplinaires de la région bruxelloise par des politiciens et professeurs des universités Saint-Louis et de Louvain, dont Francis Delpérée. En 1982, ce centre devient le Centre d’études régionales bruxelloises, ayant pour seul objectif la résolution du conflit bruxellois dans le processus de régionalisation de la Belgique. Ce n’est qu’en 1989 que la Région de Bruxelles-Capitale est constituée. Depuis, l’université a démarré le développement d’une série « d’indicateurs statistiques bruxellois » devenue référence en matière de financement et fiscalité bruxelloises[12].

En 2000, l’université intègre l’enjeux bruxellois dans ses « missions et objectifs » et est fondé le Réseau interdisciplinaire de recherche sur Bruxelles (RIB). C’est ainsi qu’est notamment constitué par Saint-Louis le groupe Levier, réunissant chercheurs et experts de Saint-Louis, l’ULB, la VUB, l’UCLouvain, la KU Leuven, les FUCaM et d’anciens instituts d’architecture (La Cambre et Sint-Lukas), afin de discuter des moyens d’action publique à Bruxelles[35].

En 2006, le Réseau interdisciplinaire de recherche sur Bruxelles de l’université Saint-Louis est chargé par le gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale de fonder une revue scientifique, Brussels Studies, interdisciplinaire et inter-universitaire, afin de regrouper toute recherche sur Bruxelles[36].

À la suite de la forte croissance de l’université en matière de recherche bruxelloises et dans l’enjeu d’une fusion future avec l’université catholique de Louvain, l’université Saint-Louis fonde en 2008 l’Institut de recherches interdiciplinaires sur Bruxelles (IRIB), englobant et coordonnant les 19 centres de recherche de l’université au niveau de leurs études portant sur Bruxelles[12].

En 2014, l’université Saint-Louis fonde le Brussels Studies Institute, en collaboration avec l’université libre de Bruxelles et la Vrije Universiteit Brussel, soutenu par la région bruxelloise[37].

Centre d’action universitaire[modifier | modifier le code]

Le CAU, le Centre d’Action Universitaire est l’organisation étudiante chargée de représenter. Le CAU organise également des soirées (par exemple la Welcome Party), d’autres animations (par exemple des sorties théâtre), et se charge de l’élection des délégués de cours.

L’équipe du CAU est élue chaque année après les vacances de Pâques. Cette équipe entre en fonction l’année suivante et se compose d’un Exécutif et d’un nombre variable de Commissaires.

Il est prévu à devenir une partie constituante de l’AGL, l’Assemblée générale des étudiant·e·s de Louvain, tout en conservant son subside et devenant un conseil AGL de site, comme c’est le cas à Mons et à Woluwe, mais conservant sa dénomination CAU, lors de la fusion fondant l’UCLouvain[29].

LogoAIESEC.png

AIESEC[modifier | modifier le code]

L’AIESEC a une section à Saint-Louis. L’AIESEC Saint-Louis propose aux étudiants des stages de volontariat ou professionnels à l’étrangers ainsi que la possibilité d’intégrer le comité local afin de développer leur potentiel de leadership. Son comité local fonctionnant de façon similaire à une entreprise est composé de 6 départements et un Exécutive Board (organe exécutif) élu par ses membres.

AIESEC est la plus grande asbl au monde gérée par des étudiants et jeunes diplômés. Cette organisation se veut apolitique et est classée parmi les organisations les plus démocratiques au monde. Elle est présente dans plus de 110 pays avec plus de 86 000 membres. Son but est de permettre aux jeunes de développer leur leadership et d’avoir un impact positif sur la société. L’AIESEC propose également d’innombrables stages humanitaires ou professionnels à l’étranger.

Il est à noter également qu’AIESEC entretient des relations officielles avec des organismes des Nations unies puisqu’elle bénéficie du statut consultatif auprès du Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC), de l’Organisation internationale du travail (OIT) et de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). AIESEC entretient également des relations avec l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI).

Composition du Comité Local[modifier | modifier le code]

  • Business and Development : External relations, networking, sales.
  • Marketing and Communication : Branding, marketing campaign, communication.
  • Talent Management : Human ressources management, recrutement, coaching.
  •  Finance and Legalities : Budget, operating funds, legal liabilities.
  • OutGoing Exange (OGX) : Promotion, costumer services
  • Project : Conception et réalisation des projets tels que le salon des masters FUTURA.

Erasmus Student Network[modifier | modifier le code]

Avec sa faculté de traduction et interprétation Marie Haps, l’université Saint-Louis participe au programme Erasmus depuis sa création en 1987, et effectuait déjà des échanges étudiants avec l’université de Grenade depuis les années 1970[38]. L’université n’organisant quasiment que des programmes de bachelier, il est possible d’effectuer un séjour Erasmus ou résultant d’un accord bilatéral en troisième année de bachelier dans quatre facultés, depuis la signature de la convention Erasmus de l’Union européenne en 2004.

Première antenne bruxelloise francophone, la section ESN Saint-Louis Brussels de l’Erasmus Student Network accueille et soutient les étudiants entrants effectuant un séjour à Saint-Louis[39] mais aussi à ceux de l’Institut libre Marie Haps, de l’École centrale des arts et métiers, l’EPHEC, et de l’UCLouvain Bruxelles Woluwe et UCLouvain Bruxelles Saint-Gilles. ESN Saint-Louis est membre fondateur d’ESN Brussels United et membre d’ESN Belgium.

Le Cercle Saint-Louis[modifier | modifier le code]

Le Cercle Saint-Louis (CSL) est une association d’étudiants et d’anciens étudiants de l’Université qui s’efforce de perpétuer et de promouvoir à Saint-Louis le folklore estudiantin qui lui est propre.

Depuis ses débuts, le Cercle remplit un rôle d’intégration des étudiants, en les accompagnant au cours de leur parcours académique tout en les divertissant.

Auparavant, seul le comité de baptême (une douzaine de personnes) se chargeait de l’organisation de toutes les activités. À présent, le comité a été scindé en deux entités chapeautées par un bureau exécutif.

Le Cercle Saint-Louis existe depuis plusieurs dizaines d’années et transmet chaque année aux nouveaux étudiants des facultés les belles traditions du folklore estudiantin en leur proposant des activités tout au long de l’année, à commencer par le baptême.

L’ACS[modifier | modifier le code]

Le CSL fait partie d’une plus vaste association connue sous le nom d’ACS (Association des Cercles du Supérieur). L’ACS regroupe 22 cercles d’étudiants de la plupart des écoles supérieures de Bruxelles.

Cette association a été créée afin de promouvoir les contacts entre ces différents cercles et de coordonner les nombreuses activités organisées par ceux-ci. Elle permet également à tous les cercles qui la composent d’organiser chaque année au Fuse deux soirées à thèmes, plus communément appelés TD’s.

Le CSL fait preuve depuis plusieurs années d’une très grande participation aux activités de l’ACS et permet par la même occasion de véhiculer l’esprit qui nous est propre au sein des autres instituts académiques ou supérieurs.

Artistes[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

  • Pierre Goemaere (1894-1975), journaliste, romancier, directeur de la Revue belge[40].
  • Benjamin Maréchal (°1978), animateur à VivaCité.

Universitaires[modifier | modifier le code]

  • Thomas Braun (1876-1961), avocat et bâtonnier, écrivain, membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.
  • Jean-Marie Cauchies (° 1951), historien, professeur émérite de l’Université Saint-Louis, ancien doyen de la Faculté de philosophie et lettres, membre de l’Académie royale de Belgique, docteur honoris causa des universités Lyon III-Jean Moulin et de Haute Alsace (Mulhouse), membre de la Commission royale d’Histoire et de la Commission royale des anciennes lois et ordonnances de Belgique.
  • Bernard Coulie (°1959), ancien recteur de l’UCLouvain.
  • Etienne Davignon (°1932), administrateur de sociétés et ministre d’État.
  • Henri Davignon (1879-1964), administrateur de société, romancier, essayiste
  • Pierre Daye (1892-1960), premier chef de groupe rexiste à la Chambre des représentants, journaliste.
  • Marie-Esmeralda de Belgique (°1956), fille du roi Léopold III.
  • Louis de Halleux (1858-1948), haut magistrat, écrivain[41].
  • Francis Delpérée (°1942), professeur de droit constitutionnel à l’UCLouvain et sénateur.
  • Henri De Page (1894-1969), professeur de droit civil à l’ULB.
  • Georges-Henri Dumont (1920-2013), historien, membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.
  • Xavier Hanotte (°1960), traducteur littéraire et écrivain, membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.
  • Franz Merjay (1852-1917), fusillé par l’armée allemande pour ses activités d’espionnage durant la Première Guerre mondiale.
  • Edouard Ned, alias Athanase-Camille Glouden (1873-1949), professeur d’école normale, écrivain, fondateur des éditions Durandal[42].
  • François Ost (°1951), juriste et philosophe, écrivain, professeur à l’Université Saint-Louis, ancien vice-recteur, membre de l’Académie royale de Belgique, docteur honoris causa de l’université de Nantes.
  • Charles Terlinden, historien, professeur à l’Université catholique de Louvain[43].
  • Edmond Thieffry (1892-1929), avocat et aviateur, as de l’aviation durant la Première Guerre mondiale.
  • Françoise Tulkens (°1942), ancienne vice-présidente de la Cour européenne des droits de l’homme, docteur en droit, licenciée en criminologie, agrégée de l’enseignement supérieur, membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.
  • William Ugeux (1909-1997), juriste, collaborateur de la Cité chrétienne de l’abbé Leclercq, puis directeur du Vingtième siècle jusqu’en 1940, résistant, ensuite directeur de La Cité puis d’INBEL, et professeur de communication à l’UCLouvain[44].
  • Philippe Van Parijs (°1951), philosophe, professeur à l’UCLouvain et à Harvard.
  • Henri Velge (1888-1951), avocat, professeur à l’UCLouvain et premier Premier Président du Conseil d’État de Belgique.

Politiques[modifier | modifier le code]

  • Emily Hoyos (°1977), ancienne coprésidente d’Ecolo, ancienne présidente du Parlement wallon.
  • Pierre Harmel (1911-2009), ancien Premier Ministre.
  • Benoît Cerexhe (°1961), ancien ministre de la Région bruxelloise et bourgmestre de Woluwe-Saint-Pierre.
  • Henry Carton de Wiart (1869-1951), avocat, ministre, écrivain, membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.
  • Paul-Henry Gendebien (°1939), ancien député européen, ancien député à la Chambre, ancien président du Rassemblement Wallonie France.
  • Bénédicte Linard (1976), ministre de la Communauté française.
  • Georges-Louis Bouchez (1986), sénateur.

Sportifs[modifier | modifier le code]

  • Louise Cavenaile (°1989), hockeyeuse belge, membre de l’équipe olympique aux Jeux de Londres en 2012.

Campus Saint-Louis[modifier | modifier le code]

Campus Marie-Haps[modifier | modifier le code]

  1. « http://www2.usaintlouis.be/prive/etud/Information/annexes_regroupees_du_schema_directeur_vfin.pdf »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
  2. [1]
  3. « Marque UCLouvain – Argumentaire », Université Saint-Louis – Bruxelles, 16 mai 2018, p.1.
  4. Etienne Hallet, « Saint-Louis en chiffres – Université Saint-Louis – Bruxelles », sur www.usaintlouis.be (consulté le )
  5. a et b Eric Burgraff, « Saint-Louis valide la fusion avec l’UCL », Le Soir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. a et b « La fusion entre l’UCL et l’USL-B se concrétise », sur uclouvain.be, (consulté le )
  7. a b c et d http://www.usaintlouis.be/sl/718.html
  8. Consulter, pour plus de détails, le communiqué de presse Accord historique au sein de l’Académie Louvain sur le site de l’université catholique de Louvain
  9. L’UCLouvain tombe à l’eau : Namur dit « non » à la fusion
  10. « L’Université Saint-Louis », p. 8
  11. « Fusion en vue pour l’UCL et l’Université Saint-Louis », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. a b et c Université Saint-Louis – Bruxelles, L’Université, 2017-2018, Bruxelles, Presses universitaires Saint-Louis, , 79 p., p. 6-8
  13. a et b Joost Vaesen et Benjamen Wayens, « L’enseignement supérieur et Bruxelles », Brussels Studies, no 76,‎ , p. 4 (brusselsstudies.be)
  14. « L’Ecole des sciences philosophiques et religieuses », sur fusl.ac.be
  15. « Histoire de l’Institut Saint-Louis », sur saintlouis.be (consulté le )
  16. a et b « L’IRIB », sur irib.be
  17. « OMMEGANG – Les Entreprises Louis De Waele », Les Entreprises Louis De Waele,‎ (lire en ligne, consulté le )
  18. a et b Christian Laporte, « St-Louis s’étend au centre-ville », La Libre,‎ (lire en ligne, consulté le )
  19. Etienne Hallet, « Plan d’accès – Université Saint-Louis – Bruxelles », sur www.usaintlouis.be (consulté le )
  20. Etienne Hallet, « Faculté de traduction et interprétation Marie Haps – Université Saint-Louis – Bruxelles », sur www.usaintlouis.be (consulté le )
  21. « L’Université Saint-Louis », P. 32
  22. Université Saint-Louis – Bruxelles, « Taux de réussite et nombre d’inscrits », Statistiques Université Saint-Louis – Bruxelles, Bruxelles,‎ (résumé)

    Version 2013 à consulter en ligne.

  23. a et b (en) Université Saint-Louis – Bruxelles, « Bachelor of Science in Business Engineering », sur usaintlouis.be, (consulté le )
  24. Valérie Glatigny (Ministre de l’Enseignement supérieur, de l’Enseignement de promotion sociale, de la Recherche scientifique, des Hôpitaux universitaires, de l’Aide à la jeunesse, des Maisons de justice, de la Promotion de Bruxelles, de la Jeunesse et des Sports), « Promotion de l’anglais », Commission de l’Enseignement supérieur, de l’Enseignement de promotion sociale, de la Recherche, des Hôpitaux universitaires, des Sports, de la Jeunesse, de l’Aide à la jeunesse, des Maisons de justice et de la Promotion de Bruxelles du Parlement de la Communauté française, Fédération Wallonie-Bruxelles, vol. 19-Ens Sup4,‎ , p. 21 (lire en ligne)
  25. « Bacheliers supplémentaires »
  26. « L’université Saint-Louis », p. 54
  27. Bertrand Hamaide, « University Welcome: Pierre Jadoul, Rector of the USL-B, Bertrand Hamaide, Vice-Rector in Charge of International Relations », 2018 Elias Conference Brussels, Salle des examens, Université Saint-Louis – Bruxelles, Bruxelles, 5 décembre 2018.
  28. Etienne Hallet, « Faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de la communication – Université Saint-Louis – Bruxelles », sur www.usaintlouis.be (consulté le )
  29. a b et c Université Saint-Louis – Bruxelles et Université catholique de Louvain, « Schéma directeur de fusion », sur dailyscience.be, (consulté le )
  30. « Double diplôme avec stage », sur usaintlouis.be (consulté le )
  31. (en) « Dual Master’s Degree UCL/USL-BXL – Carleton University », sur uclouvain.be, (consulté le )
  32. UCLouvain, « Doubles diplomations UCLouvain-Canada », sur uclouvain.be,
  33. Académie de recherche et d’enseignement supérieur, « Modification de l’intitulé du grade académique de master de spécialisation en analyse interdisciplinaire de la construction européenne en « master de spécialisation interdisciplinaire en études européennes» », sur ares-ac.be,
  34. http://ciem.ulb.ac.be/Formation/Formation/mcgt.html
  35. « Présentation de l’IRIB »
  36. « Brussels Studies », sur brusselsstudies.be
  37. « Le BSI », sur bsi.brussels
  38. Discours de Philippe Moreau à l’occasion de la Séance de rentrée académique 2018 pour étudiants internationaux de l’Université Saint-Louis – Bruxelles, le 21 février 2018.
  39. « ESN- Saint Louis | ESNcard », sur esncard.org (consulté le )
  40. Céline Vanderpelen-Diagre, Écrire en Belgique, op. cit., p. 289.
  41. C. Vanderpelen-Diagre, Écrire en Belgique sous le regard de Dieu. La littérature catholique belge dans l’entre-deux-guerres, Bruxelles, 2004, p. 286.
  42. Céline Vanderpelen-Diagre, Écrire en Belgique, op. cit., p. 293.
  43. Voir H. Haag, « Terlinden, Charles », in Nouvelle biographie nationale, t. III, Bruxelles, Académie royale de Belgique, 1994, p. 323-325.
  44. B. Balteau, William Ugeux, un témoin du siècle. Entretiens, Bruxelles, 1997

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

De manière générale, la Revue de Saint-Louis et le Bulletin d’information [des] Facultés universitaires Saint-Louis offrent une chronique régulière de la vie de l’Institut Saint-Louis puis de la Faculté et des Facultés tout au long du XXe siècle. On trouvera ci-dessous la liste des principales sources primaires imprimées et celle des principales études consacrées à l’Université Saint-Louis depuis ses origines.

Sources primaires (publications d’époque documentant l’histoire de l’université Saint-Louis)[modifier | modifier le code]

  • Institut Saint-Louis, Mémorial 1858-1908, Bruxelles, Charles Bulens, 1908, 209 pp. 
  • Institut Saint-Louis, Bruxelles. Liber memorialis, 75e anniversaire, 1858-1933, s.l.n.d. [Bruxelles, 1933], 123 p. et pl. h.-t. 
  • La Gestapo à Saint-Louis, dans Revue de Saint-Louis, 4e s., no 3, avril 1948, p. 238-249.
  • J. Paquet et G. Braive, Facultés universitaires Saint-Louis. Bibliographie académique (Corps académique et scientifique) 1960-1970, Bruxelles, 1971, 124 pp.
  • G. Braive et A. Tihon, Facultés universitaires Saint-Louis. Bibliographie académique 1971-1980, Bruxelles, 1982, 143 pp.
  • D. Coppieters de Gibson, 1858-1983, CXXVe anniversaire des Facultés, dans Bulletin d’information [des] Facultés universitaires Saint-Louis, no 17, juillet 1983, p. 1-6.
  • Catalogue général 1999-2000, avant-propos de F. Ost, Bruxelles, 1999 (Publications des Facultés universitaires Saint-Louis, hors-série), 73 pp. Cette version imprimée pourra être complétée par les nouveautés parues depuis et mentionnées sur la page web des Presses de l’Université Saint-Louis.
  • Facultés universitaires Saint-Louis. Guide de la recherche 2002, [coordination éditoriale assurée par E. Bousmar], avant-propos de M. van de Kerchove, Bruxelles, 2002, 228 pp.  

Sources primaires (souvenirs consignés ou collectés)[modifier | modifier le code]

  • Franz De Ruyt, « La Faculté Saint-Louis en 1925 », dans Bulletin d’information [des] Facultés universitaires Saint-Louis, no 11-12, mai 1980, p. 12-17.  
  • R. Demain, « Souvenirs de 1928-1930 », dans Bulletin d’information [des] Facultés universitaires Saint-Louis, no 20, janvier 1985, p. 11-13.  
  • G.-H. Dumont, « Souvenirs de notre immédiat avant-guerre (1938-1940) », in Bulletin d’information [des] Facultés universitaires Saint-Louis, n ° 13, mars 1981, p. 1-12 (témoignage consigné en septembre 1980).  

Travaux sur l’histoire de l’université Saint-Louis[modifier | modifier le code]

  • Gaston Braive, Histoire des Facultés universitaires Saint-Louis, des origines à 1918, Bruxelles, 1985. Ouvrage très fouillé, de première main. Indispensable. Comporte aux p. 327-372 un Répertoire bio-bibliographique du personnel enseignant de la Faculté de philosophie et lettres Saint-Louis, 1858-1918.
  • Pierre Sauvage et Claude Soetens, Les années 30 aux Facultés Saint-Louis. Conférences données le 29 mai 1984, Bruxelles, 1985.
  • Gaston Braive, « Les premières étudiantes à la Faculté Saint-Louis en 1925 », in Bulletin d’information [des]Facultés universitaires Saint-Louis, no 25, juillet 1987, p. 15-20.
  • Gaston Braive, « La situation des filles à la Faculté Saint-Louis en 1925 », in Bulletin d’information [des] Facultés universitaires Saint-Louis, no 26, janvier 1988, p. 17-20.
  • Gaston Braive, « Le Cercle d’histoire du chanoine De Lannoy », in Bulletin d’information [des] Facultés universitaires Saint-Louis, n° 27, juillet 1988, p. 13-16.
  • Gaston Braive, « Une société d’étudiants issue du contexte politico-estudiantin des années ’30 », in Bulletin d’information [des] Facultés universitaires Saint-Louis, no 29, juillet 1989, p. 13-17.
  • André Tihon, « Jacques Leclercq à Saint-Louis », in Jacques Leclercq (1891-1971). Célébration du centenaire, Bruxelles, 1991 [sive Rixensart, 1992].
  • Gaston Braive, « En marge d’une élection à l’Académie: Henry Bauchau (Faculté Saint-Louis 1931-1933) », in Bulletin d’information [des] Facultés universitaires Saint-Louis, 19e a., 1992, no 34, p. 5-8; repris in G. Braive, Chemins d’histoire, Genappe, 2008, p. 152-156.
  • Gaston Braive, « L’enseignement de la philosophie morale aux Facultés universitaires Saint-Louis (1858-1968) », dans Variations sur l’éthique. Hommage à Jacques Dabin, Bruxelles, 1994, p. 39-55.
  • Gaston Braive, « Tentations droitières dans la jeunesse étudiante catholique », in Francis Balace e.a., De l’avant à l’après-guerre. L’extrême-droite en Belgique francophone, Bruxelles, 1994, p. 17-40; repris in G. Braive, Chemins d’histoire, Genappe, 2008, p. 101-125.
  • Gaston Braive, « Étudiants universitaires bruxellois sous l’Occupation : Saint-Louis avant et après la fermeture de l’ULB », in M. Depaepe et D. Martin (dir.), La Seconde Guerre mondiale, une étape dans l’histoire de l’enseignement, Bruxelles, 1997, p. 145-166, repris in G. Braive, Chemins d’histoire, Genappe, 2008, p. 127-151.    
  • André Tihon, « Van Camp, Henri », in Nouvelle biographie nationale, t. VI, Bruxelles, Académie royale de Belgique, 2001, p. 346-348. Mgr Van Camp fut recteur de la Faculté (puis des Facultés) de 1964 à 1973 et continua de présider le conseil d’administration jusqu’à sa mort en 1984.    
  • Eric Bousmar (avec la coll. de Paul Fontaine), Le Monument aux morts de l’Institut Saint-Louis, sculpté par Frans Huygelen (1922), dans 14-18 s’affiche. Expositions organisées dans le cadre de la semaine de la Grande Guerre à l’Université Saint-Louis « 1914-1918 : les arts de la mémoire » du 23 au 27 février 2015, Bruxelles, Université Saint-Louis, [2015], non pag. [p. 13-15], plaquette in-8° hors-commerce. Également diffusé sous forme d’un feuillet tiré à part (une illustration changée) : E. Bousmar (avec la coll. de P. Fontaine), Le Monument aux morts de l’Institut Saint-Louis, sculpté par Frans Huygelen (1922), Bruxelles, Université Saint-Louis, 2015, un feuillet in-4° recto-verso, 2 ill., hors-commerce. Consultable en ligne sur le site Academia.edu, consulté le 15 août 2015.
  • Eric Bousmar, L’abbé Jean Schoonjans (1897-1976) et la vulgarisation de l’histoire, de la Faculté Saint-Louis à la série Nos Gloires, dans B. Federinov, G. Docquier et J.-M. Cauchies (éd.), A l’aune de Nos Gloires. Edifier, narrer et embellir par l’image. Actes du colloque tenu au Musée royal de Mariemont les 9 et 10 novembre 2012, Bruxelles-Morlanwelz, Presses de l’Université Saint-Louis/Musée royal de Mariemont, 2015 (Monographies du Musée royal de Mariemont, 20 ; Cahiers du CRHiDI, hors-série), p. 73-119. (ISBN 978-2-930469-53-9), ISSN 1782-6675, ISSN 1370-2262. Consultable en ligne sur le site Academia.edu, consulté le 15 août 2015.

Filmographie[modifier | modifier le code]

  • Court-métrage consacré aux 150 ans des Facultés universitaire Saint-Louis, réalisé par Joël Bocken, documentation, textes et scénario d’Eric Bousmar et Véronique Eloy, adaptation de Joël Bocken, prise de vue par Sidney Leclerc, Dulia Lengema et Joël Bocken, montage de Joël Bocken, conseiller historique Eric Bousmar, production Facultés universitaires Saint-Louis, septembre 2008, 20 minutes. Il a été téléchargeable sur <http://www.fusl.ac.be/fr/317.html>.




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