UCLouvain — Wikipédia


La Sedes Sapientiæ, sceau de l’université créé en 1909 (version de Michel Olyff).

L’Université catholique de Louvain ou UCLouvain[20] (abrégée UCL jusqu’en 2018) est une université belge francophone multi-site présente dans six villes belges et qui réunit, depuis l’adoption du nouveau nom, l’UCL et l’Université Saint-Louis – Bruxelles.

À la suite de la scission de l’université catholique de Louvain en deux entités juridiquement indépendantes (1968), l’université francophone s’est implantée dans sa majeure partie à Louvain-la-Neuve (Brabant wallon) depuis 1972 et à Woluwe-Saint-Lambert pour les facultés de médecine, de pharmacie, de dentisterie et de sciences biomédicales, l’université néerlandophone demeurant à Louvain, sous le nom de Katholieke Universiteit Leuven (KU Leuven). Elle est l’une des plus importantes universités belges et est régulièrement citée comme faisant partie des 150 meilleures universités mondiales.

L’université est financée par la Communauté française de Belgique et décerne des diplômes reconnus par celle-ci. La faculté de théologie décerne des diplômes canoniques, ayant valeur pour le droit canonique de l’Église catholique romaine.

Implantation principale à Louvain-la-Neuve[modifier | modifier le code]

La ville de Louvain-la-Neuve fut bâtie par l’université pour pouvoir l’accueillir et lui permettre de rester ouverte sur le monde. Auparavant, la région était principalement agricole. Louvain-la-Neuve est maintenant une ville en pleine expansion dont l’urbanisme ingénieux attire de nombreux habitants.

Les bâtiments universitaires sont implantés à plusieurs endroits de la ville :

  • Les autorités et le centre administratif de l’université sont logés dans les Halles universitaires, bâtiment situé place de l’Université, au-dessus de la gare (à Louvain, ces services se trouvaient dans d’anciennes halles aux draps).
  • Vers le centre de la ville, dans les alentours de la Grand-Place se trouvent les facultés des sciences humaines : la faculté de théologie, la faculté de philosophie, arts et lettres, la faculté de droit, la faculté des sciences politiques, économiques, sociales et de communication, la Louvain School of Management et la faculté de psychologie et sciences de l’éducation.
  • La faculté des sciences de la motricité se situe dans le quartier de l’Hocaille tandis que le centre sportif se trouve plus haut (Blocry).
  • De l’autre côté de la ville (quartier du Biéreau) se trouvent la faculté des sciences, la faculté d’ingénierie biologique, agronomique et environnementale (bio-ingénieurs), la partie louvaniste de la faculté d’architecture (LOCI) ainsi que l’École polytechnique de Louvain.

Implantations en Région de Bruxelles-Capitale[modifier | modifier le code]

Implantations dans la Province de Hainaut[modifier | modifier le code]

Implantation dans la Province de Namur[modifier | modifier le code]

L’université possède de surcroît un centre de recherche agricole, le Centre de Michamps, fondé en 1965 à Bastogne, en province de Luxembourg[24].

Date de fondation[modifier | modifier le code]

Pour la date de fondation deux écoles s’opposent :

1425[modifier | modifier le code]

1425 date de fondation de l’ancienne université de Louvain. En effet, l’université elle-même[25], un nombre d’historiens[26],[27], d’encyclopédies[1],[2] ainsi que des sources journalistiques[3],[28] considèrent que l’université a été fondée en 1425 en vertu de la continuité spirituelle mais aussi factuelle existant entre l’ancienne université de Louvain, supprimée en 1797, et l’université catholique de Belgique qui a été fondée en 1834 à Malines, puis s’est établie à Louvain sous le nom d’université catholique de Louvain, et ce que ce soit au niveau géographique, le fait qu’elles étaient toutes les deux établies à Louvain (et y aient occupé les mêmes bâtiments emblématiques), mais aussi dans les volontés de l’épiscopat[26], de la ville de Louvain[26],[27], ainsi que celle d’hommes politiques[29] comme Mérode qui dans leur discours ont clairement affirmé qu’ils voulaient recréer l’ancienne université (ce qui fut notamment le cas pour toute une série de traditions, d’enseignement et d’organisation, universitaires spécifiques, communes à l’ancienne et à la nouvelle institution)[30]. Selon La Wallonie, le pays et les hommes, encyclopédie historique dirigé par Hervé Hasquin, Rita Lejeune et Jacques Stiennon, également de la volonté de professeurs : «celle de Louvain (l’Université d’État), avec son statut de neutralité et d’établissement de l’État, fut battue en brèche par les professeurs de l’ancienne Université, aussi bien que par l’épiscopat. Les uns réclamaient la ‘recréation’ de leur maison, […] on envisagea donc – à l’abri de l’indépendance nouvelle – de reconstituer une Université catholique de Louvain à laquelle un bref du pape Grégoire XVI donna existence le 13 décembre 1833 »[27]. Toutefois cette affirmation est nuancée par Arlette Graffart[31], l’université d’État de Louvain mérite bien plus selon elle d’être considérée comme la « résurrection » de l’ancienne université de Louvain : « elle seule et non point celle qui vit le jour en 1834 à l’initiative des évêques de Belgique, c’est-à-dire l’université catholique de Malines devenue de Louvain l’année suivante. En effet, l’ancienne Université de Louvain fut créée au XVe siècle d’un commun accord par les pouvoirs publics (le duc Jean IV et la ville de Louvain) et le Saint-Siège, sans intervention de l’épiscopat ni du clergé local ». Certains auteurs comme Erik Van Mingroot contestent la légalité de la loi supprimant l’ancienne université de Louvain, en estimant que le « pouvoir révolutionnaire » considéré comme des « forces d’occupation » (occupying forces) illégales de 1795 à 1813, fin de l’Empire napoléonien, exerçait l’autorité sur les anciens Pays-Bas et que d’autre part, seul le pape, considéré comme fondateur, aurait-eu le pouvoir de dissoudre l’ancienne université fondée par lui[32]. Alors qu’en réalité l’université de Louvain n’est pas un ordre religieux de droit purement pontifical, mais a été fondée d’un commun accord par les pouvoirs civils du duché de Brabant : le duc Jean IV[33] et le magistrat de la ville de Louvain[34] avec le consentement du pape Martin V[31]. C’est sur base de ces arguments que l’université est retenue dans les classements des universités de plus de 400 ans[3] par exemple ou affiche sur son sceau néogothique avec la Sedes Sapientiæ, créé en 1909, la date de 1425.

Ainsi, selon le journal « La Libre Belgique »[35] : « Suspendue en 1797 pendant la Révolution française, l’université fut ressuscitée à Malines en 1834 à l’initiative des évêques de Belgique, avant d’être transférée à Louvain un an plus tard ».

Les Archives de l’État en Belgique, néanmoins toujours détenteurs des archives de l’Ancienne université de Louvain, estiment, en contradiction avec les arrêts[36] de la cour d’appel de 1844 et de Cassation du 26 novembre 1846, que la KU Leuven et l’UCL « sont les successeurs en droit de l’ancienne université »[37].

1834[modifier | modifier le code]

1834 qui est la date de la fondation à Malines le 8 novembre 1834 par les évêques de Belgique, à la suite d’un bref[38] du pape Grégoire XVI, de l’Université catholique de Belgique[39],[40],[26], appelée usuellement Université catholique de Malines; les personnes qui défendent cette date de 1834 le font sur le fait que les évêques de Belgique ont créé à Malines en 1834, une toute nouvelle université catholique à Malines n’ayant aucun lien juridique avec l’ancienne université. Ce fait est circonstancié dans deux arrêts des cours d’Appel et de Cassation[41] qui ont refusé d’octroyer les bourses de l’ancienne université à la nouvelle : « l’Université catholique de Louvain ne peut être considérée comme continuant l’ancienne Université de Louvain »[42] : « L’université libre de Louvain ne représente pas légalement l’antique université de cette ville. Attendu que cette université (l’ancienne Université de Louvain), instituée par une bulle papale, de concert avec l’autorité souveraine, formait un corps reconnu dans l’État, ayant différentes attributions, dont plusieurs même lui étaient déléguées par le pouvoir civil ; Attendu que ce corps a été supprimé par les lois de la république française ; Attendu que l’université existant actuellement à Louvain ne peut être considérée comme continuant celle qui existait en 1457, ces deux établissements ayant un caractère bien distinct, puisque l’université actuelle, non reconnue comme personne civile, n’est qu’un établissement tout à fait privé, résultat de la liberté d’enseignement, en dehors de toute action du pouvoir et sans autorité dans l’État… ».

Chronologie avant 1834[modifier | modifier le code]

  • 1425 : fondation de l’ancienne université par les ducs de Brabant[4].
  • 1797 : suppression sous la République française, de l’ancienne université par la loi du 3 brumaire de l’an IV et transfert à Bruxelles dans l’École centrale de Bruxelles. En réalité, l’ancienne université de Louvain a continué d’exister à l’époque de l’occupation française de 1795 à 1797, et a légalement été supprimée après le traité de Campoformio du 17 octobre 1797, quand les anciennes provinces belgiques du Saint-Empire firent désormais partie légalement en droit international de la République française à laquelle l’Empereur du Saint-Empire les a cédées[43]. Faisant suite à une dépêche du 19 octobre 1797, l’administration centrale du département de la Dyle prit le décret du 4 brumaire an VI (25 octobre 1797) supprimant l’université de Louvain, en application du décret de la Convention du 15 septembre 1793 qui supprimait tous les collèges et universités de la République et pas uniquement l’université de Louvain. Wauthier, chef de bureau du département de la Dyle et l’ex-jésuite De la Serna Santander, bibliothécaire de l’École centrale de Bruxelles, furent chargés de l’application de cette mesure. Le 26 octobre 1797, ils se rendirent avec Michel-Marcel Robyns, receveur des domaines nationaux, auprès de l’administration communale de Louvain, pour la notifier[44];
  • 1817 : réouverture d’une université à Louvain : l’université d’État de Louvain.

Chronologie depuis 1834[modifier | modifier le code]

La Faculté de théologie sur la Grand-Place à l’époque encore en construction, en 1984.
  • 1835 : Discussion au Parlement de la loi sur l’enseignement supérieur. Charles Rogier, essayant dans une dernière tentative de sauver l’Université d’État de Louvain, y propose lors de la séance du 11 août 1835 qu’il n’y ait plus en Belgique qu’une seule université financée par l’État et établie à Louvain, il fut soutenu dans son combat par l’éloquence fougueuse du député catholique Ignace Quirini, ancien étudiant de l’Université d’État, et qui deviendra ensuite professeur à la nouvelle université catholique, mais leur dernier combat, sonnant le glas de l’unionisme, fut vain et la proposition fut rejetée[48]. La loi votée le 27 septembre 1835 supprima définitivement l’université d’État de Louvain qui ferma ses portes le 15 août 1835[46] . C’est alors que l’université catholique de Malines, après la suppression de l’université d’État de Louvain [49], s’installe à Louvain et prend le nom d’« université catholique de Louvain[49] », en latin « Universitas catholica Lovaniensis[50] » ou « Universitas catholica in oppido Lovaniensi[51] », souvent simplement appelée à l’époque « Université catholique[52] » en omettant le mot Louvain[53].
Son promoteur et premier recteur Monseigneur de Ram veut, dans l’esprit de la reconquête catholique instaurée par Grégoire XVI[54], en faire un rempart qui puisse s’opposer « aux ennemis de la religion » et faire obstacle « au progrès de ces funestes doctrines qui depuis un demi-siècle ont ébranlé les bases de la société »[55].
  • 1859, le jeudi , l’Université catholique de Louvain célèbre son vingt-cinquième anniversaire[56],[57]. Les étudiants offrent le un grand banquet au recteur et aux professeurs dans le grand hall destiné aux festivals de l’Académie de Musique de Louvain[58].

Livre publié pour célébrer le 25ème anniversaire de la fondation de l’Université catholique de Louvain le 3 novembre 1859.
  • 1884 : l’université catholique de Louvain fête solennellement et avec éclat son cinquantième anniversaire[59].

75e anniversaire de la réinstallation de l’université catholique de Louvain 1834-1909, médaille bronze, 60 mm, signée Frantz Vermeylen.

Revers de la médaille, la grande et belle salle des pas-perdus des Halles de Louvain.
  • 1909 : l’Université catholique de Louvain célèbre son 75ème anniversaire, et frappe une médaille où elle utilise en français le mot « réinstallation » et en néerlandais « herstelling » : 75e anniversaire de la réinstallation de l’université catholique 75e verjaardag van de herstelling des katholieke hoogschool 1834-1909.
  • 1968 : à la suite des problèmes linguistiques, maintien à Louvain de la section française, au mécontentement des étudiants néerlandophones. Introduction d’étudiants dans les conseils facultaires. L’université de Louvain est alors scindée en deux universités distinctes, l’une néerlandophone, toujours en activité à Louvain, l’autre, francophone, qui s’installera en Brabant wallon, dans la commune d’Ottignies.
  • 1970 : La loi du 24 mai 1970 institue deux universités : Katholieke Universiteit Leuven et Université catholique de Louvain.

L’université catholique accueille de plus en plus d’étudiants d’Amérique latine (d’une centaine en 1964 à 700 en 1970), ce qui en fait un lieu majeur de dialogue entre les milieux catholiques européens et latino-américains, permettant notamment la transmission de la théologie de la libération[60].

  • 1972 : première implantation d’entreprise dans le Parc scientifique de Louvain-la-Neuve, destiné à développer les relations entre l’industrie de l’UCLouvain.
  • 1972 : Louvain-la-Neuve comme ville habitée s’ouvre durant le 2e semestre
  • 1979 : fin du transfert des facultés à Louvain-la-Neuve, avec l’installation de la Faculté de philosophie et lettres.
  • 1995 : création de l’Institut de pédagogie universitaire et des multimédias.
  • 1999 : création de la Fondation Louvain et de l’Institut universitaire de formation continue.

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

  • 2004 : dans le cadre de l’harmonisation des études supérieures européennes décidée par le processus de Bologne, l’université entame une réforme en profondeur de son enseignement dans toutes les facultés.
  •  : création de l’Académie Louvain, le réseau des universités catholiques francophones de Belgique.
  •  : Après presque trois ans de collaboration active dans ce réseau, les recteurs des quatre universités catholiques, les FUCaM, les FUNDP, les FUSL et l’UCL, décident d’entamer des négociations en vue de la fusion des quatre établissements en une seule université, l’UCLouvain[61]. Alors que les trois autres institutions se sont prononcées pour la fusion, le processus échoue le , à la suite du vote de l’assemblée générale des FUNDP[62].
  • 2010 : intégration des Instituts supérieurs d’architecture Saint-Luc de Bruxelles et de Tournai
  •  : fusion avec les Facultés universitaires catholiques de Mons, qui deviennent l’UCL Mons, aujourd’hui UCLouvain FUCaM Mons.
  •  : fusion décidée avec l’université Saint-Louis – Bruxelles[63],[64], celle-ci est en attente d’une modification décrétale pour être totalement effective.
  •  : l’université utilise une identité visuelle commune avec l’université Saint-Louis – Bruxelles, et adopte d’une nouvelle dénomination commune : UCLouvain, tout en attendant un décret pour finaliser la fusion[65]

Fresque de Claude Rahir[modifier | modifier le code]

Partie gauche encore visible de la fresque

Le peintre Claude Rahir (1937-2007) a réalisé en 1984, une fresque monumentale de 650 m2[66], évoquant l’histoire de l’université catholique de Louvain telle qu’elle est présentée officiellement actuellement par cette institution. Elle est composée de 3 parties ; la partie gauche évoque l’ancienne université de Louvain depuis sa fondation par Martin V (en réalité elle fut fondée par la volonté du duc Jean IV de Brabant et de la municipalité de Louvain), la partie droite évoque les facultés de la nouvelle université catholique de Louvain puis de Louvain-la-Neuve. Cette fresque n’évoque toutefois ni l’Université d’État de Louvain, ni l’université catholique de Malines. Le centre représente sur 12 mètres de haut la Sedes Sapientiae, choisie comme symbole de cette université depuis 1909. La ville nouvelle se développant rapidement, cette peinture murale qui voulait rappeler aux nouvelles générations d’étudiants les racines de l’université a été presque totalement occultée par la construction d’un bâtiment administratif de l’UCL (le bâtiment Doyen, comprenant, entre autres les auditoires Doyen et la Louvain School of Management). Ne restent aujourd’hui que quelques mètres de la partie gauche, visibles au coin de la rue de la Lanterne magique, au-dessus du passage de l’Agora.

Une reproduction à échelle réduite de l’intégralité de cette fresque fut exposée du 24 octobre au 7 novembre 2009 sur la place d’Armes de la ville de Namur dans le cadre du projet Na-Mur, commémoration pour les 20 ans de la chute du mur de Berlin.

Il est à noter que cette œuvre s’intègre, parmi sept autres aux thèmes divers (souvent celui de l’université) réalisées par des collectifs ou artistes renommés, à un parcours de fresques réparties dans la ville piétonne.

L’UCLouvain figure en bonne place dans les classements internationaux. Depuis 2004, elle garde une position stable entre la 101e et la 152e place dans le classement académique des universités mondiales par l’université Jiao Tong de Shanghai[67]. En 2012, le QS World University Rankings lui attribue la 127e place mondiale dans son classement des universités[68]. Elle a aussi été classée dans le top 25 des universités de plus de 400 ans[3]. En 2019, elle est classée 51e université européenne par le Times Higher Education World University Rankings[69], 128e mondiale par le même classement[70],[71], mais prend la deuxième place en Belgique, juste après la KU Leuven[72],[73].

Aux QS World University Rankings, l’UCLouvain atteint la 167e place[74], troisième université belge du classement de 2019. Elle est classée comme la meilleure université du monde en actuariat[75] et comme 8e meilleure université du monde pour ses études en théologie. Elle se trouve dans les 100 meilleures universités pour ses formations en philosophie, statistique, économie et économétrie, et 94e université mondiale dans le domaine des sciences sociales[76]. Le master CEMS auquel participe la Louvain School of Management est par ailleurs classé 8e dans le monde selon QS[77], 8e aussi selon le Financial Times[78]. Eduniversal classe le master en sciences des données (Big data) de l’UCLouvain comme 3e mondial[79], le master en sciences et gestion de l’environnement d’AGRO Louvain à la 13e place mondiale[80], et le master en administration publique de la Faculté ESPO à la 13e place du classement européen[81].

Recteurs[modifier | modifier le code]

Le recteur est le véritable chef de l’exécutif de l’université.

À partir de Pierre Macq, les recteurs sont nommés pour un mandat de cinq ans renouvelable.

À partir de Bruno Delvaux, les recteurs sont élus au suffrage universel pondéré.

Administrateurs généraux[modifier | modifier le code]

Présidents du conseil d’administration[modifier | modifier le code]

Grand chancelier[modifier | modifier le code]

Ce titre est surtout honorifique. En effet, il désigne le président du pouvoir organisateur (PO), mais les décisions se prennent essentiellement dans le conseil d’administration, le conseil académique et le conseil rectoral. Il est porté par l’archevêque de Malines-Bruxelles:

Secteur des sciences humaines[modifier | modifier le code]

Les auditoires Montesquieu (droite) et la faculté de droit et de criminologie (gauche).
  • Faculté de droit et de criminologie (DRT)
  • Faculté de philosophie, arts et lettres (FIAL)
    • École de philosophie (EFIL)
    • Langues et lettres
      • Langues et littératures françaises et romanes (ROM)
      • Langues et littératures modernes (LMOD)
      • Langues et littératures anciennes (classiques et orientales) (GLOR)
      • Langues et littératures modernes et anciennes (LAFR)
      • Linguistique (LING)
      • Louvain School of Translation and Interpreting (LSTI)
    • Histoire, histoire de l’art et archéologie
      • Histoire (HIST)
      • Histoire de l’art, archéologie et musicologie (ARKE)
    • Information et communication
      • Communication multilingue (MULT)
      • Arts du spectacle (THEA)
      • Sciences et technologies de l’information et de la communication (STIC)
  • Faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de communication (ESPO)
    • Commission de l’agrégation et de la formation continue des enseignants (AGES)
    • École de Communication (COMU)
    • Economics School of Louvain (ESL)
    • École interfacultaire en études européennes (EURO)
    • Chaire Hoover – Commission d’enseignement (HOOV)
    • Faculté ouverte de politique économique et sociale (FOPES)
    • École des Sciences politiques et sociales/Louvain School of Political and Social Sciences (PSAD).
    • Bureau du premier cycle (SESP)
    • École des Sciences du travail (TRAV)
  • Faculté de psychologie et des sciences de l’éducation (PSP)
    • École de psychologie (EPSY)
    • École de logopédie (ELOG)
    • École d’éducation et de formation (EDEF)
    • École de sexologie et des sciences de la famille (ESFA)
  • Faculté de théologie (TECO)
    • École doctorale en théologie et en études bibliques (EDT)
    • Théologie (THEO)
    • Études bibliques (EBIB)
    • Sciences des religions (SREL)
  • Louvain School of Management (LSM)

Secteur des sciences de la santé[modifier | modifier le code]

  • Faculté de médecine et médecine dentaire (MEDE)
    • École de médecine (MED)
    • École de médecine dentaire et de stomatologie (MDEN)
  • Faculté de pharmacie et des sciences biomédicales (FASB)
    • École de pharmacie (FARM)
    • École des sciences biomédicales (SBIM)
  • Faculté de santé publique (FSP)
  • Faculté des sciences de la motricité (FSM)
    • Commission d’encadrement Éducation par le Mouvement (EDPM)
    • Commission d’encadrement Sports, exercices physique et santé (EXR6)
    • Commission d’encadrement Physiologie et Biomécanique de la Locomotion (LOCO),
    • Commission d’encadrement Réadaptation et Médecine Physique (READ)

À l’exception de la Faculté des sciences de la motricité, située à Louvain-la-Neuve, le secteur des sciences de la santé de l’UCLouvain se trouve sur le campus UCLouvain Bruxelles Woluwe.

Secteur des sciences et technologies[modifier | modifier le code]

Auditoires des Sciences et Place des Sciences
  • École polytechnique de Louvain (EPL)
    • Ecole d’urbanisme et d’aménagement du territoire (URBA)
  • Faculté d’architecture, d’ingénierie architecturale, d’urbanisme (LOCI)
  • Faculté des bioingénieurs (AGRO)
    • Département de Biologie appliquée et des Productions agricoles (BAPA)
    • Département de chimie et des bioindustries (CABI)
    • Pôle en Sciences de l’environnement
  • Faculté des sciences (SC)
    • École de biologie (BIOL)
    • École de chimie (CHIM)
    • École de géographie (GEOG)
    • École de physique (PHYS)
    • École de mathématique (MATH)
    • École de médecine vétérinaire (VETE)
    • École de statistique, biostatistique et sciences actuarielles (LSBA)

Les facultés et l’école de ce secteur se situent toutes à Louvain-la-Neuve. Toutefois, la faculté d’architecture possède également des implantations à Tournai et à Saint-Gilles : il s’agit des anciens instituts supérieurs d’architecture Saint-Luc, rattachés à l’UCLouvain depuis 2010.

À partir de la rentrée 2017, l’UCLouvain en partenariat avec la Haute École Louvain en Hainaut lancent un cursus 6 années combiné ingénieur de gestion et ingénieur industriel[88]

Autres entités[modifier | modifier le code]

  • LIDAM
  • Centre de philosophie du droit
  • Centre de recherche pour la solidarité et l’innovation sociale

Secteur des sciences humaines[modifier | modifier le code]

Secteur des sciences de la santé[modifier | modifier le code]

  • Institut de Duve (DDUV), anciennement Institute of Cellular Pathology (ICP)
  • Institut de neuroscience (IoNS)
  • Institut de recherche expérimentale et clinique (IREC)
  • Institut de recherche santé et société (IRSS)
  • Louvain Drug Research Institute (LDRI)

Secteur des sciences et technologies[modifier | modifier le code]

  • Institut de la matière condensée et des nanosciences (IMCN)
  • Institut de recherche en mathématique et physique (IRMP)
  • Institute of Mechanics, Materials and Civil engineering (IMMC)
  • Louvain Institute of Biomolecular Science and Technology (LIBST)[N 2]
  • Louvain Institute for Data Analysis and Modeling in economics and statistics (LIDAM)
  • Technologies de l’information et de la communication, électronique et mathématiques appliquées (ICTEAM)
  • Earth and Life Institute (ELI)

Outre son réseau hospitalier, l’UCLouvain possède deux hôpitaux universitaires : les Cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles, et le CHU UCLouvain Namur établi à Namur, Dinant, Yvoir et Ciney, en province de Namur, ainsi que le Centre hospitalier neurologique William Lennox à Ottignies-Louvain-la-Neuve. Le Secteur des sciences de la santé de l’université accueille le Réseau Santé Louvain, géré par la Commission du Réseau hospitalier de l’UCLouvain[89] qui regroupe[90] :

  • le Groupe hospitalier Saint-Luc UCLouvain :
    • les Cliniques universitaires Saint-Luc ;
    • le Centre Hospitalier neurologique William Lennox ;
    • le Centre Hospitalier Valida ;
    • le Centre hospitalier régional Mons-Hainaut ;
    • la Clinique Notre-Dame de Grâce ;
    • la Clinique Sanatia ;
    • la Clinique Saint-Pierre Ottignies ;
    • l’Hôpital psychiatrique La Petite Maison APsy-UCLouvain ;
  • le CHU UCLouvain Namur et ses 13 implantations ;
  • la Clinique Saint-Jean Bruxelles ;
  • la Clinique Saint-Luc Bouge ;
  • le Groupe santé CHC de Liège et ses 31 implantations ;
  • le Centre hospitalier de Luxembourg au Grand Duché du Luxembourg ;
  • le Centre hospitalier de Wallonie picarde (CHwapi) ;
  • le Centre hospitalier Epicura ;
  • le Centre hospitalier régional Haute Senne ;
  • le Centre hospitalier régional Mons-Hainaut ;
  • le Centre hospitalier régional Val de Sambre ;
  • le Centre neuro psychiatrique Saint-Martin et ses 5 hôpitaux ;
  • le Centre psychiatrique Saint-Bernard ;
  • les Cliniques de l’Europe (hôpitaux Sainte-Élisabeth et Saint-Michel) ;
  • les Cliniques du Sud Luxembourg (Vivalia) et ses 13 implantations ;
  • le Groupe Jolimont et ses 31 implantations ;
  • l’Hôpital psychiatrique Saint-Charles ;
  • l’Hôpital psychiatrique St-Jean-de-Dieu ;
  • le St. Nikolaus-Hospital d’Eupen ;
  • l’Alliance nationale des Mutualités chrétiennes.

Prix Nobel[modifier | modifier le code]

Université catholique de Louvain (1835-1968)[modifier | modifier le code]

Professeurs[modifier | modifier le code]

Docteurs honoris causa[modifier | modifier le code]

Des doctorats honoris causa sont donnés par l’université depuis 1874 mais seulement au niveau facultaire[91]. Le premier DHC universitaire fut en 1951 le roi Baudouin[91].
De nombreux autres suivirent[92] :

  • 1951 :
  • 1961 :
  • 1970 :
  • 1976 :
  • 1978 :
  • 1979 :
  • 1981 :
  • 1985 :
  • 1986 :
  • 1987 :
  • 1988 :
  • 1989 :
  • 1990 :
  • 1992 :
  • 1993 :
  • 1994 :
  • 1995 :
  • 1996 :
  • 1997 :
  • 1998 : Droits de l’homme, droits de la femme, droits des peuples
  • 2000 : L’engagement, des idées aux actes
  • 2001 : Université et culture
  • 2002 : Femmes et engagement dans la société
  • 2003 : Quelle mondialisation?
  • 2004 : Dialogue et paix
  • 2005 : L’Europe de l’art et de la culture
  • 2006 : Université et engagement
  • 2007 : L’avenir de la planète
  • 2008 : Leur combat pour l’humanité
  • 2009 : La multiculturalité
  • 2010 : Les crises, l’opportunité d’innover
  • 2011 : Penser autrement
  • 2012 : Tous connectés… un levier pour la démocratie?
  • 2013 : Art et science: réenchantons l’avenir
  • 2014 : Agir pour la société de demain
  • 2015 : Écrire, faire face
  • 2016 : Utopies pour le temps présent
  • 2017 : Aventure scientifique
  • 2018 : Les Mondes Numériques
  • 2019 : Rapprocher nos horizons
  • 2020 : Partager les savoirs
  • 2021 : Relever les défis

Alumni[modifier | modifier le code]

Prix offerts par l’université catholique de Louvain[modifier | modifier le code]

L’université catholique de Louvain décerne sous certaines conditions des prix pour des chercheurs.

Prix Baron van Dievoet[modifier | modifier le code]

Le prix Baron van Dievoet, concernant la Faculté de droit, a pour but de favoriser le développement de la science juridique en encourageant la publication d’ouvrages de droit. L’attribution de deux prix, chacun d’un montant de 250 000 anciens francs belges, aura lieu tous les cinq ans à partir du , pour un ouvrage rédigé respectivement en français et en néerlandais et consacré à l’étude du droit.

Les ouvrages proposés pour l’obtention du prix doivent traiter du droit privé. Celui-ci s’entend dans un sens large et comprend le droit privé, le droit commercial (en particulier les assurances et les opérations de crédit), la procédure civile, le droit international privé, le droit privé comparé et l’histoire du droit privé.

Prix Georges-Lemaître[modifier | modifier le code]

Le prix est attribué tous les deux ans à « un scientifique ayant contribué de façon remarquable au développement et à la diffusion des connaissances dans les domaines de la cosmologie, de l’astronomie, de l’astrophysique, de la géophysique, ou de la recherche spatiale ».

Prix Cardinal Mercier[modifier | modifier le code]

La fondation Cardinal Mercier de l’Université catholique de Louvain, érigée en 1974, décerne un prix bisannuel de 2 500 euros.

Ce prix est destiné à récompenser des travaux ayant trait à la métaphysique, la philosophie première ou l’ontologie dans ses rapports avec le monde contemporain, les travaux exclusivement historiques ne pouvant entrer en ligne de compte.

Le prix Cardinal Mercier est ouvert aux étudiants, chercheurs ou professeurs, tant belges qu’étrangers, sans aucune distinction de langue, à l’exception des membres de l’Institut supérieur de philosophie qui lui sont rattachés à titre définitif[98].

Le folklore estudiantin est fort développé à l’UCLouvain, aussi bien sur le site principal de Louvain-la-Neuve que le site de Woluwé. Il est composé essentiellement des cercles, des régionales et des kots-à-projet, rassemblant au total environ 2 000 étudiants. Les cercles et régionales effectuent chaque début d’année des baptêmes estudiantins, une sorte de bizutage pour les nouveaux arrivants souhaitant intégrer le groupe. Les kots-à-projets réalisent plusieurs activités tout au long de l’année, dont certaines de grande ampleur telles que les 24 heures vélo de Louvain-la-Neuve ou le Welcome Spring ! Festival.

Il est à noter que l’UCLouvain soutient le folklore estudiantin, de manière logistique et financière.

Les Régionales[modifier | modifier le code]

Les régionales sont des groupements d’étudiants selon leur ville, région, province d’origine, qui ont une activité festive promouvant leur terroir et leurs produits alimentaires, leurs boissons et coutumes.
Il y a comme Régionales :

  • L’Athoise
  • La Binchoise
  • La Bruxelloise
  • La B.W.
  • La Carolo
  • La Centrale
  • La Chimacienne
  • L’Enghiennoise
  • L’Eumavia (Cantons de l’Est)
  • La Grand-Ducale (G-D du Luxembourg)
  • La Liégeoise
  • La LUX (Province du Luxembourg)
  • La Mouscronnoise
  • La Montoise
  • La Namuroise
  • La Tournaisienne

Ils sont réunis dans la Fédé.

Les Cercles[modifier | modifier le code]

Les cercles sont des groupements d’étudiants selon leur faculté qui ont une activité festive promouvant leurs études et leurs disciplines.
Il y a comme cercles :

Ils sont réunis dans le GCL.

Les Kots-à-projet[modifier | modifier le code]

Les kots-à-projet (KAPs) sont des kots qui ont chacun un projet qu’ils développent tout le long de l’année. Chaque KAP est composé d’une dizaine de personnes qui vivent ensemble, et réalisent plusieurs activités autour de leur projet. Il y a, en 2018, 78[99] kots-à-projet sur Louvain-la-Neuve axés sur des thématiques aussi diverses que variées: sport, culture, arts de la scène, handicap, environnement, sciences, social, droits humains ou encore interculturalité. Les différents projets sont coordonnés par l’Organe ASBL, le collectif des kots-à-projet.

Junior-Entreprise[modifier | modifier le code]

Trois Junior-Entreprises sont implantées sur le campus de l’UCLouvain à Louvain-la-Neuve: LSMConseil, LLN Juris Club et Expand, la première Junior-Entreprise dans le domaine du développement durable et des biotechnologies[100]. Une quatrième est implantée sur le campus de l’UCLouvain FUCaM Mons: FUCaM Junior Consulting.

L’Assemblée générale des étudiant·e·s de Louvain (AGL)[modifier | modifier le code]

L’Assemblée générale des étudiant·e·s de Louvain est l’organisation qui représente tous les étudiants de l’UCLouvain. Chaque année, durant le second semestre, les étudiants ont l’occasion de participer à l’élection des conseillers AGL. Ceux-ci sont issus de toutes les facultés, proportionnellement aux nombres d’étudiants qu’elles accueillent. Le Conseil AGL est composé d’environ 80 conseillers qui constituent alors une sorte de « parlement » ou organe représentatif des étudiants de l’UCLouvain. De plus, les conseillers élisent généralement un comité d’une quinzaine de personnes qui est l’« exécutif » de L’AGL.
L’AGL mandate également des étudiants, désignés par le Conseil, dans différents organes universitaires, tel que le Conseil Académique, le Conseil des Affaires sociales étudiantes ou le Conseil d’Administration. Ce sont également les Conseillers qui désignent les Conseillers fédéraux qui représenteront les étudiants louvanistes au sein pour l’instant de la Fédération des étudiants francophones, qui regroupe et représente la majorité des étudiants au niveau de la Communauté française.

Les Bureaux des étudiants (BDE)[modifier | modifier le code]

La plupart des facultés sont dotées d’un Bureau des étudiants (BDE), qui se charge d’assurer la représentation étudiante au sein de la faculté. Ceux-ci réunissent généralement les délégués de cours et les représentants étudiants des différents organes facultaires. Chaque BDE est piloté par un comité chargé de la gestion quotidienne.
Depuis 2012, l’Union des bureaux des étudiants (UBE) sert de lien entre les différents BDE.

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « UNIVERSITÉ DE LOUVAIN », sur Encyclopædia Universalis (consulté le ).
  2. a et b (en) http://www.britannica.com/topic/Catholic-University-of-Leuven.
  3. a b c et d (en) [1] Classement du Times des universités de plus de 400 ans.
  4. a et b Histoire de l’UCL
  5. Arrêt de la Cour de cassation du 26 novembre 1846 : « L’université catholique de Louvain ne peut être considérée comme continuant l’ancienne université de Louvain » (Table générale alphabétique et chronologique de la Pasicrisie Belge contenant la jurisprudence du Royaume de 1814 à 1850, Bruxelles, 1855, p. 585, colonne 1, alinea 2.
  6. Plusieurs professeurs de l’ancienne université de Louvain, ont repris leur enseignement à l’Université d’État de Louvain, comme Xavier Jacquelart, Jean Philippe Debruyn, Guillaume Joseph van Gobbelschroy, Joseph Josse Vandertaelen, Ferdinand Sentelet, Jean-Baptiste Liebaert, Étienne Heuschling. Et pourtant, comme l’écrit Geertrui Couderé (Geertrui Couderé, « De studenten aan de Rijksuniversiteit Leuven (1817-1835) », dans : Liber amicorum Dr. J. Scheerder, Louvain, 1987, p. 241: « Maar dat er te Leuven ooit een Rijksuniversiteit heeft bestaan is voor velen steeds een onbekend feit ») : « le fait qu’il y eut jadis une université d’État à Louvain est pour beaucoup une chose inconnue » et elle ajoute que « même évoquer son existence était un sujet tabou » (Geertrui Couderé, De studenten aan de Rijksuniversiteit Leuven (1817-1835), dans Liber amicorum Dr. J. Scheerder, Louvain, 1987, p. 259 : « de oorzaak dat de Rijksuniversiteit lange tijd in de taboesfeer verbleef »).
  7. Selon le site historique de l’UCL : «  *1834 – Création d’une université libre catholique à Malines. * 1835 – L’université catholique prend la suite de l’Université d’État qui est supprimée par la loi universitaire du 25 septembre réglant l’enseignement dans la Belgique indépendante depuis 1830« . (consulté le 2 août 2014).
  8. Annuaire de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
  9. Loi relative à l’intervention de l’Etat dans le financement des universités libres et de diverses institutions d’enseignement supérieur et de recherche scientifique.
  10. Communauté française de Belgique, « Art. 10 du Décret définissant l’enseignement supérieur, favorisant son intégration dans l’espace européen de l’enseignement supérieur et refinançant les universités », Moniteur belge,‎ , p. 6 (lire en ligne)
  11. http://www.ejustice.just.fgov.be/tsv_pdf/2017/06/09/17080934.pdf
  12. Page des autorités de l’UCLouvain
  13. http://www.uclouvain.be/5975.html
  14. a et b DH Les Sports+, « L’UCLouvain est prête à relever le défi de la Province », sur DH Les Sports +, (consulté le )
  15. a et b Rapport d’activité de l’UCLouvain 2018-2019.
  16. Rapport annuel de l’UCLouvain 2020-2021: Chiffres du personnel.
  17. Rapport annuel de l’UCLouvain 2020-2021: Chiffres : la recherche.
  18. Rapport annuel de l’UCLouvain 2020-2021: Chiffres étudiants.
  19. a b et c « Rapport d’activité de l’UCL 2011-2012 ».
  20. « À propos », sur UCLouvain (consulté le ).
  21. « Saint-Louis valide la fusion avec l’UCL », Le Soir,‎ (lire en ligne, consulté le )
  22. « La fusion entre l’UCL et l’USL-B se concrétise », sur uclouvain.be, (consulté le )
  23. « Namur », sur UCLouvain (consulté le ).
  24. « Centre de Michamps », sur centredemichamps.be (consulté le )
  25. Histoire de l’UCL.
  26. a b c et d Erik Van Mingroot, Sapientie Immarcessibilis. A diplomatic and Comparative Study of the Bull of Foundation of the University of Louvain (December 9, 1425), Louvain : University Press, 1994 : « First, of course, the question ought to be asked whether the link between 1425 and 1994 is actually a realistic one. After all, there was a break between the old Alma Mater and the 19th century Catholic University, specifically between 1797 and 1834. And there was the intermezzo of the State University in Louvain between 1816 and 1835. These gaps naturally cannot be denied or ignored. Moreover, during the first three quarters of a century of its existence the Catholic University was represented in particular as a Catholic institution : this is evident from the celebration of 75 years « Katholieke Universiteit » in 1909. However, from the start the pedagogical traditions of the Old University were quite consciously reinstated. After the University celebrations in 1909, the material and spiritual legacy of the Old University began to be cherished in Louvain even more. But especially after the first World War the recognition of the continuing ties with the Old University gradually grew. And rightfully so, in my opinion. Despite the fact that the French Revolutionary command for all practical purposes exercised legal authority over the Southern Netherlands during 1795-1813 (following the unilateral annexation on October 1, 1795), it cannot be denied that what we had here were in fact occupying forces. Perhaps the question may be asked whether this government, even after the Treaty of Campo Formio (October 17. 1797), really had the right to dissolve the Old University on October 25, 1797 and whether this right should not have been preferably granted to the founding authority, the Pope. Whatever the case may be, one also needs to take into account that the new Catholic University, although not founded through Rome because of the changed social context of the 19th century, did however receive a letter of permission from Pope Gregory XVI (1831-1846) in the papal brief of December 13, 1833, at the request of the Belgian bishops. This papal brief, Majori certe solatio, was in fact reproduced word for word in the decree of founding by the Belgian episcopacy on June 10, 1834. That the Catholic University was considered (and meant)as a refounding of the Old University of Louvain, as such if not in actuality, was emphasized by the agreement between the bishops and the Louvain municipal council, where there is discussion of « quasi renascentem … Lovaniensium Academiam » , the quasi-reestablished University of Louvain. This certainly creates a moral tie between the two institutions, and in my opinion, even a semi-official tie. Taken from this perspective it does not seem unjustifiable if the members of the current Louvain university community call and consider themselves (at least second generation) descendants of those first commilitiones from 1425, or better said, 1426, when the University actually opened and the first academic year began. Without presuming to deliver a pronouncement on the legal position of the current Alma Mater in this respect, the historian believes that there are more than sufficient reasons to study the Sapientie Immarcessibilis with greater than normal interest. ».
  27. a b et c http://connaitrelawallonie.wallonie.be/sites/wallonie/files/livres/fichiers/wph_culture_tiv_p253-270.pdf
  28. « L’UCL et la KUL dans le top 25 des meilleures universités de plus de 400 ans », sur RTBF Info, (consulté le ).
  29. id=16ZEAAAAcAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false
  30. Voir Léon van der Essen dans Histoire des universités belges, Bruxelles, Office de Publicité, 1954, p. 107. On notera aussi, rapporté par le même historien dans L’Université de Louvain, Bruxelles, Éditions universitaires, 1945, p. 188 , ce témoignage de l’un de ceux qui œuvraient en 1815 au rétablissement de l’Alma Mater: «Le prince (Guillaume Ier) me demandait en badinant si je voulais le rétablissement de l’Université à Louvain ou de Louvain: j’ai dit que je demandais l’Université de Louvain à Louvain» (voir la source originale reproduite dans l’Annuaire UCLouvain 1838, p. 253-254).
  31. a et b Arlette Graffart, « La matricule de l’Université de Louvain (1817-1835) », dans Album Carlos Wyffels, Bruxelles, 1987, p. 177.
  32. Erik Van Mingroot, Sapientie Immarcessibilis. A diplomatic and Comparative Study of the Bull of Foundation of the University of Louvain (December 9, 1425), Louvain : University Press, 1994, p. 2 : « Despite the fact that the French Revolutionary command for all practical purposes exercised legal authority over the Southern Netherlands during 1795-1813 (following the unilateral annexation on October 1, 1795), it cannot be denied that what we had here were in fact occupying forces. Perhaps the question may be asked whether this government, even after the Treaty of Campo Formio (October 17. 1797), really had the right to dissolve the Old University on October 25, 1797 and whether this right should not have been preferably granted to the founding authority, the Pope ».
  33. Les délices des Pays-Bas, Liège chez J.F. Bassompierre, Père, Imprimeur de S.A. et Libraire, tome premier, 1769, p, 237 : « Louvain étant ainsi presque dépeuplé, faute de commerce et d’habitants, Jean IV, Duc de Brabant, y fonda, l’an 1426, du consentement du pape Martin V, une Université, qui est devenue dans la suite très-célèbre ».
  34. Édouard Van Even, Louvain dans le passé et le présent, pp. 551-552: « C’est à Jean IV que les historiens ont attribué la gloire de cette fondation. ….Or, dans les comptes, nous avons constaté que l’université fut érigée par l’édilité louvaniste et que Jean IV n’a pas fait beaucoup plus que de permettre à son secrétaire d’adresser une supplique à la cour de Rome et de placeter les bulles d’érection. Parmi les autres conseillers du duc qui appuyèrent le projet, un auteur contemporain, Pierre Impens, mentionne Henri vander Leck, seigneur de Heeswyk; Jean de Glymes, seigneur de Berg-op-Zoom; Jean van Alphen, abbé d’Afflighem; Jean Geeraerts, abbé de Tongerloo; Jean Bont, membre du conseil de Brabant, et Pierre de Becker, maître des comptes du duché ».
  35. Jacques Hermans, « La KU Leuven joue dans la cour des grands depuis bientôt 600 ans », dans : La Libre Belgique, 19 août 2020, p. 9.
  36. « L’Université catholique de Louvain ne peut être considérée comme continuant l’ancienne Université de Louvain ; et lorsqu’un acte de fondation a désigné pour collateur un professeur de cette ancienne université, il y a lieu d’y pourvoir par le gouvernement », Table générale alphabétique et chronologique de la Pasicrisie belge contenant la jurisprudence du Royaume de 1814 à 1850, Bruxelles, 1855, p. 585, colonne 1, alinea 2. Voir également : Bulletin usuel des lois et arrêtés, 1861, p. 166.Voir aussi l’arrêt de la Cour d’appel de 1844 : La Belgique judiciaire, 28 juillet 1844 no 69, p. 1 : « Cour d’Appel de Bruxelles. Deuxième chambre. L’université libre de Louvain ne représente pas légalement l’antique université de cette ville. Attendu que cette université (l’ancienne Université de Louvain), instituée par une bulle papale, de concert avec l’autorité souveraine, formait un corps reconnu dans l’État, ayant différentes attributions, dont plusieurs même lui étaient déléguées par le pouvoir civil ; Attendu que ce corps a été supprimé par les lois de la république française ; Attendu que l’université existant actuellement à Louvain ne peut être considérée comme continuant celle qui existait en 1457, ces deux établissements ayant un caractère bien distinct, puisque l’université actuelle, non reconnue comme personne civile, n’est qu’un établissement tout à fait privé, résultat de la liberté d’enseignement, en dehors de toute action du pouvoir et sans autorité dans l’État… ».
  37. Archives de l’État, 09/05/2014 – Louvain : « Les archives de l’ancienne université de Louvain au Registre de la Mémoire du Monde de l’UNESCO » : « Quelque 171 mètres d’archives de l’ancienne université sont conservées aux Archives de l’État à Louvain. La Katholieke Universiteit Leuven (KU Leuven) en conserve, quant à elle, 8 mètres ainsi que 375 chartes ; la KU Leuven et l’UCL étant les successeurs en droit de l’ancienne université » Lire en ligne.
  38. Edward van Even, Louvain dans le passé et dans le présent, Louvain, 1895, p. 606 : « Par lettre collective du 14 novembre 1833, le corps épiscopal s’adressa à Grégoire XVI, à l’effet d’obtenir l’autorisation nécessaire pour ouvrir l’école. Cette autorisation fut octroyée par un bref du 13 décembre suivant. Une circulaire épiscopale, datée du 20 février 1834, annonça aux fidèles la fondation d’une Université catholique »
  39. Une médaille commémorative fut frappée avec la légende « UNIVERSITAS CATHOLICA BELGII Mechliniae inaugurata » : Catalogue des monnaies et médailles formant le cabinet de feu M. J.B. De Jonghe, Bruxelles, Heussie, 1860, p. 172 no 3289. Ainsi que : Pierre De Ram, « Universitas Catholica Belgii, Oratio quam die IV mensis novembris anni MDCCCXXXIV, in aede metropolitana Mechliniensi habuit Petrus-Franc.-Xav. De Ram…. quum illustrissimus ac reverendissimus Dominus Engelbertus, archiepiscopus Mechliniensis primas Belgii oblato solemni ritu missae sacrificiio Universitatem Catholicam inauguraret« , Lovanii, .
  40. Encyclopédie théologique, tome 54, Dictionnaire de l’histoire universelle de l’Église, Paris : éd. J.P. Migne, 1863, sub verbo Grégoire XVI, col. 1131 : « Après sa séparation de la Hollande en 1830, la Belgique libérale a vu son Église jouir d’une véritable indépendance. Les évêques s’assemblent en conciles, communiquent avec le Saint-Siège en toute liberté. Sur l’article fondamental des études, ils ont fondé l’université catholique de Louvain, où les jeunes Belges vont en foule puiser aux sources les plus pures toutes les richesses de la science ».
  41. a et b Concernant l’absence de lien entre la nouvelle université catholique et l’ancienne université de Louvain il y les arrêts de la cour de cassation du 26 novembre 1846 et de la cour d’appel de 1844, qui refusent de donner des bourses car selon eux l’Université catholique de Louvain ne peut être présentée comme la continuatrice de l’ancienne université de Louvain : « L’Université catholique de Louvain ne peut être considérée comme continuant l’ancienne Université de Louvain ; et lorsqu’un acte de fondation a désigné pour collateur un professeur de cette ancienne université, il y a lieu d’y pourvoir par le gouvernement », Table générale alphabétique et chronologique de la Pasicrisie belge contenant la jurisprudence du Royaume de 1814 à 1850, Bruxelles, 1855, p. 585, colonne 1, alinea 2. Voir également : Bulletin usuel des lois et arrêtés, 1861, p. 166. Voir aussi l’arrêt de la Cour d’appel de 1844 : La Belgique judiciaire, 28 juillet 1844 no 69, p. 1 : « Cour d’Appel de Bruxelles. Deuxième chambre. L’université libre de Louvain ne représente pas légalement l’antique université de cette ville. Attendu que cette université (l’ancienne Université de Louvain), instituée par une bulle papale, de concert avec l’autorité souveraine, formait un corps reconnu dans l’État, ayant différentes attributions, dont plusieurs même lui étaient déléguées par le pouvoir civil ; Attendu que ce corps a été supprimé par les lois de la république française ; Attendu que l’université existant actuellement à Louvain ne peut être considérée comme continuant celle qui existait en 1457, ces deux établissements ayant un caractère bien distinct, puisque l’université actuelle, non reconnue comme personne civile, n’est qu’un établissement tout à fait privé, résultat de la liberté d’enseignement, en dehors de toute action du pouvoir et sans autorité dans l’État… ».
  42. Cour de cassation : « L’Université catholique de Louvain ne peut être considérée comme continuant l’ancienne Université de Louvain ; et lorsqu’un acte de fondation a désigné pour collateur un professeur de cette ancienne université, il y a lieu d’y pourvoir par le gouvernement », Table générale alphabétique et chronologique de la Pasicrisie belge contenant la jurisprudence du Royaume de 1814 à 1850, Bruxelles, 1855, p. 585, colonne 1, alinea 2. Voir également : Bulletin usuel des lois et arrêtés, 1861, p. 166.
  43. Jules Delhaize, La domination française en Belgique, Bruxelles, 1909, tome III, p. 171 : «  Les articles 3 et 4 du traité de Campo-Formio consacrèrent enfin, au point de vue international, la réunion de la Belgique à la France. Voici ces articles. Art. 3 – Sa Majesté l’Empereur, Roi de Hongrie et de Bohême, renonce pour elle et ses successeurs en faveur de la République française, à tous ses droits et titres sur les ci-devant provinces belgiques, connues sous le nom de Pays-Bas autrichiens. La République française possédera ces pays à perpétuité, en toute souveraineté et propriété, et avec tous les biens territoriaux qui en dépendent« .
  44. Toutes ces péripéties concernant le déroulement de la fermeture d’ l’université se trouvent dans : Edward van Even, Louvain monumental, Louvain, 1860, p. 289.
  45. Edward van Even, Louvain dans le passé et dans le présent, Louvain, 1895, p. 606 : « Par lettre collective du 14 novembre 1833, le corps épiscopal s’adressa à Grégoire XVI, à l’effet d’obtenir l’autorisation nécessaire pour ouvrir l’école. Cette autorisation fut octroyée par un bref du 13 décembre suivant. Une circulaire épiscopale, datée du 20 février 1834, annonça aux fidèles la fondation d’une Université catholique »
  46. a et b Arlette Graffart, « La matricule de l’Université de Louvain (1817-1835) », dans Album Carlos Wyffels, Bruxelles, 1987, p. 181 : « Elle ferma ses portes le 15 août 1835 ».
  47. Encyclopédie théologique, tome 54, Dictionnaire de l’histoire universelle de l’Église, Paris : éd. J.P. Migne, 1863, sub verbo Grégoire XVI, col. 1131 : « Après sa séparation de la Hollande en 1830, la Belgique libérale a vu son Église jouir d’une véritable indépendance. Les évêques s’assemblent en conciles, communiquent avec le Saint-Siège en toute liberté. Sur l’article fondamental des études, ils ont fondé l’université catholique de Louvain, où les jeunes Belges vont en foule puiser aux sources les plus pures toutes les richesses de la science ».
  48. Edward van Even, Louvain dans le passé et dans le présent, Louvain : Aug. Fonteyn, 1895, p. 606 : « Dans l’intervalle, on discutait à la chambre la loi sur l’enseignement supérieur. À la séance du 11 août 1835, Charles Rogier fit la proposition suivante :  » Il y aura pour toute la Belgique une seule université aux frais de l’État. Elle sera établie à Louvain ». Le plus capable des Représentants de notre arrondissement, le grand jurisconsulte Quirini, consacra à la défense de ce projet le feu de son éloquence, toutes les ressources de sa puissante dialectique ; ce fut en pure perte. Les députés de Gand et de Liège étaient parvenus à circonvenir la majorité de la Chambre, et la proposition fut rejetée. La loi du 27 septembre 1835 ne maintenant plus que deux universités, entretenues aux frais de l’État, celle de Liège et de Gand, l’école de Louvain fut fermée ».
  49. a et b Christophe Vielle, « Notice historique sur le nom de l’université », sur www.uclouvain.be,
  50. Exemple : Annales de la Société de Sciences Naturelles de Bruges, 1re année – tome 1er, Bruges, 1839 : « Dissertatio chirurgica quam cum subjectis thesibus publicè propugnavit in universitate catholicâ Lovaniense (sic), anno 1839, P.J. Van Meerbeek ».
  51. Exemple : Dissertatio chirurgica, annuente Summo Numine, ex auctoritate Rectoris Magnifici Petri Francisci Xav. De Ram, in universitate catholica in oppido Lovaniensi… publice propugnavit Eugenius Debruyn.
  52. Almanach royal officiel de Belgique, 1835, p. 454 : « Cranincx , professeur à l’Université catholique » ». Ou : Almanach Royal de Belgique pour l’an 1841[2], p. 454 : « Van Biervliet, professeur à l’Université catholique », « Vanbeneden, professeur à l’Université catholique », « Crahay, professeur à l’Université catholique », « Michaux, professeur à l’Université catholique ».
  53. Monseigneur de Ram, Quelques mots sur l’Université catholique de Louvain, Bruxelles, 1840, p. 5 : « Parmi les bonnes œuvres que le zèle du bien public inspire chaque jour et que chaque jour voit éclore parmi nous, il n’en est pas de plus importante, il n’en est pas qui promette de plus heureux résultats que celle de l’Université catholique ».
  54. Isidore Ndaywel è Nziem, dans : Les années Lovanium, Paris : L’Harmattan, 2010, p. 19 : « La Rome du pontificat de Grégoire XVI (1831-1846) fut en effet aux sources d’un mouvement de renouveau (…) Dans ce deuxième tiers du siècle en effet, à l’époque de refondation de l’Université de Louvain, la notion de reconquête catholique en Occident était imprégnée d’un projet de retrouvailles avec un passé rêvé où Rome aurait tenu un rôle central, incarnant la rupture avec la Révolution Française et présentant une véritable alternative aux avancées du libéralisme moderne ».
  55. Monseigneur de Ram, Quelques mots sur l’Université catholique de Louvain, Bruxelles, 1840, p. 8 : « L’Université catholique, que nos premiers pasteurs ont rétablie à Louvain avec le concours du clergé et des fidèles, est une espèce de boulevard opposé aux ennemis de la religion et au progrès de ces funestes doctrines qui depuis un demi-siècle ont ébranlé les bases de la société. C’est un devoir impérieux pour nous de soutenir cette belle institution de notre crédit, de notre fortune, de nos talents » et p. 12 : « la jeunesse, que l’Université catholique aura formée, réalisera nos désirs ».
  56. Souvenir du XXVe anniversaire de la fondation de l’Université catholique: Novembre 1859, Louvain, typographie Vanlinthout et Cie, 1860, p. 5 : « Fêtes du vingt-cinquième anniversaire de la fondation de l’Université catholique. Solennités du 3 novembre »Lire en ligne.
  57. Ibidem, Souvenir du XXVe anniversaire de la fondation de l’Université catholique: Novembre 1859, Louvain, typographie Vanlinthout et Cie, 1860, p. 5 : « Inaugurée à Malines, le 4 novembre 1834, l’Université catholique a célébré à Louvain, le jeudi 3 novembre 1859, sa vingt-cinquième année d’existence »
  58. Souvenir du XXVe anniversaire de la fondation de l’Université catholique: Novembre 1859, p. 24 : « Banquet offert par les étudiants au Recteur et au Corps professoral le 23 novembre » ; et : Emiel Lamberts, Jan Roegiers, et alii, Leuven University, « The Catholic University », Leuven, 1990, p. 199 (illustration 11)
  59. E. Descamps, dans : Université Catholique de Louvain : Liber Memorialis : 1834-1884, Louvain : Peeters, 1887, p. V : « les fêtes du cinquantième anniversaire de l’Université catholique de Louvain ont eu un brillant éclat et un immense retentissement ».
  60. Olivier Compagnon, « Le 68 des catholiques latino-américains dans une perspective transatlantique », Nuevo Mundo Mundos Nuevos, Materiales de seminarios, 2008, Mis en ligne le 17 décembre 2008.
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