Romain Lucazeau : «Le conflit fait partie de l’essence du monde»


Avec son titre mallarméen, « La nuit du faune » nous emmène loin dans l’espace à la rencontre d’un bestiaire extraordinaire.

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Responsable des « Livres du Soir »


Temps de lecture: 5 min

Astrée est un enfant. Elle vit, seule, avec un robot et de vieilles machines sous un dôme, au sommet d’une montagne. Une après-midi, un faune arrive. Il fait partie d’une race jeune, il veut savoir ce qui attend sa civilisation et attend des réponses. Sous son apparence enfantine, Astrée est la dernière descendante d’une race très ancienne, aux pouvoirs considérables. Et elle s’ennuie. Alors, elle propose à Polémas – c’est ainsi qu’elle a appelé le faune – d’entamer un voyage au-delà des étoiles, au-delà de la Voie lactée.

Pour Polémas, cette exploration est peut-être la réponse à tous ses questionnements. Pour Astrée, c’est sans doute le remède à sa tristesse existentielle. Ils vont ainsi à la découverte de mondes, d’êtres et de civilisations incroyables. C’est riche en imaginaire, bourré de références scientifique, littéraires et philosophiques et éminemment poétique.



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